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 Le temps d'une vie
par MIlnou en mai 2016
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599ème
1 290 points
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En novembre 2016
Moi c fait depuis ce midi ^^
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2 195ème
830 points
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En novembre 2016
Bonne anniversaire ! ^^ 
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691ème
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En novembre 2016
Oh nooooon Anoooo !:(
Merciii beaucoup 
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691ème
1 485 points
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En novembre 2016
Chapitre 26 : Un coup de trop.
30 avril 2016, au soir.
Mon père est arrivé en courant dans ma chambre, j’avais les mains ensanglantées mais je continuais à frapper mon mur. Je ne sais pas si son regard en entrant dans ma chambre voulait dire qu’il était surprit ou qu’il avait peur de moi. Mais il a fini par rompre le silence :
« -Lucie arrêtes, calmes toi. » Avait-il dit en faisant des gestes calmes et en parlant doucement.
Mais c’était comme ci je ne l’entendais pas , plus je frappais, plus j’avais mal et plus j’étais mieux. J’entendais ma mère arriver en courant.
« Mon dieu ! Mais arrêtes là ! Elle va se faire mal ! » Avait-elle dit en prenant mon père par les bras.
« -Lucie arrête maintenant ! » Avait-il crié.
Mais je ne voulais pas, j’en avais besoin. J’avais besoin d’évacuer tellement de choses. J’avais tellement mal dans toute cette histoire mais personne n’y avait prêté attention. Même pas mes parents. Mes mains étaient coupées. Mon murs en sang et complétement cassé. Ma chambre était en ruine, comme ci un ouragan était passé.
Mon père s’est alors approché de moi afin de me calmer. Il a saisit mon bras mais par erreur et ne réalisant pas mes actes je l’ai frappé au visage. Il est tombé à terre et ma mère s’est précipitée sur lui. Je voyais que mes parents avaient peur de moi mais je m’en foutais. Je continuais.
« -Appelle les ambulances chérie , s’il te plait. » avait-il dit dans la terreur.
Ma mère est parti en courant tandis que mon père se relevait. Il m’a regardé puis a fermé la porte.
Je pleurais tellement, à bout de force je me suis effondrée sur le sol.
Essayant de reprendre ma respiration, mais j’étais trop énervée.
J’avais les joues en feu.
J’étais tellement énervée que je me suis relevée et j’ai continué à taper tout se qui était sur mon passage.
Les murs, le lit, je balançais les livres à travers la chambre, plus rien ne pouvais m’arrêter, tout le monde s’en foutait de moi alors je me faisais entendre.
Après quelques minutes des ambulanciers sont rentrés dans ma chambre. Voyant l’horreur des dégâts et mes mains ensanglantés ils se sont jeté sur moi.
Ils m’ont attrapés les mains et les pieds afin de m’immobiliser. Je hurlais, je ne voulais pas qu’ils m’arrêtent , je n’avais pas fini:
« -Lâchez moi ! lâchez moi !! » Hurlais-je a bout de forces, les joues remplient de larmes.
Puis j’ai senti quelque chose rentrer dans ma peau.
Je ne voulais pas arrêter mais mes muscles ne me suivaient plus.
Je me sentais fatigué, et tout devenais flou autour de moi.
Puis mes yeux se sont fermés et je me suis endormie.
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690ème
1 487 points
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En novembre 2016
Suite 
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749ème
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En novembre 2016
wowh, suitee
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En novembre 2016
Hehe ^^ Suite !
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599ème
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En novembre 2016
Suite
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978 points
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En novembre 2016
SUIIIITE 
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En novembre 2016
Suite
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En novembre 2016
un inconnu
c'est la meilleur fiction e lapino!!!!!!:D
Nan c la mienne >:-)
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691ème
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En novembre 2016
un inconnu
c'est la meilleur fiction e lapino!!!!!!:D
Hannnnmerci c'est trop gentil
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691ème
1 485 points
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En novembre 2016
Voila la suite :3 Est ce possible d'avoir un vrai avis ? Se que vous en pensez, parce que j'ai un doute sur continuer ou pas..
Chapitre 27 : Cœurs brisés.
Fin Août 2014,
Ma rupture avec Nolan me faisait souffrir. C’est vrai, nous étions ensembles depuis à peine deux mois qu’on se séparé déjà. On ne faisait que ça, un coup en s’entendait bien et l’instant d’après plus de nouvelles.Pour moi j’avais pris la bonne décision, pourquoi rester avec une personne qui ne prend pas soin de vous, qui ne s’inquiéte pas pour vous et qui ne vous envoit aucuns messages pendant deux semaines. Je pensais avoir trouver la bonne personne en la présentant à mes parents mais je m’étais trompée.
Mes parents étaient rentrés depuis une semaine mais je n’avais pas encore abordé le sujet. Et après plus de trois semaines sans nouvelles de lui je pense qu’il était temps de le faire.
Nous étions vendredi et l’heure du goûter était arrivé, j’allais profiter de cette occasion pour leurs dire. Je répétais mon discours à voix haute, parce que c’est une épreuve de discuter de cela avec mes parents quand ma mère m’a appelé :
-« Lucie, Tu viens manger du gâteau ? » Avait-elle dit d’une voix assez forte pour que je puisse l’entendre.
« -Oui j’arrive maman. » Ai-je dis.
Je suis descendue et je me suis installée sur la table de dehors. Il faisait chaud, mais la chaleur était supportable.
«- Alors, comment va Nolan ? » S’enquit de demander mon père à peine assis.
« -Justement, il faut que je vous dise quelque chose.. » Ai-je dis en baissant les bras.
« -Oh, ma puce, tout va bien ? » Avait dit ma mère en me prenant la main.
« -Je ne suis plus avec Nolan, nous avons rompu. » Ai-je dis en regardant mes parents dans les yeux. C’est bizarre mais en disant ça, je n’ai ressenti aucunes émotions. Pas la moindre peine. Peut être parce que nous étions pas vraiment un couple.
« -Oh, et pourquoi ? Il a l’air d’un garçon bien non ? » Avait dit mon père d’une voix grave.
« -Il a l’air mais ce n'est qu'une image. Je ne vais pas rester avec quelqu'un qui ne s’occupe pas de moi.. je vous ai déjà c’est assez suffisant. » Ai-je dis sans réfléchir à l’erreur que je venais de dire.
Mes parents se sont regardés avant de répondre :
« -Que veux-tu dire par là Lucie ? » avait dit mon père sans aucunes émotions dans sa voix.
« - C’est vrai se que je dis. Vous n’êtes jamais là ! j’ai passé toutes mes vacances toute seule parce que vous ne prenez pas le temps avec moi, alors pourquoi je choisirai un copain qui me fait la même chose ? Je pense que j’ai déjà suffisamment de solitude, alors pas la peine d’en rajouter ! » Avais-je dis les larmes aux yeux.
Mes parents étaient sous le chocs. Aucuns des deux ne prenaient la parole parce qu’ils savaient que se que je disais été vrai. Et que j’en soufrai sans m’en rendre compte. Alors j’ai continué :
« - La rentrée est dans moins de quatre jours, on a même pas été faire des courses maman ! Je suis en terminale et je passe le baccalauréat ! Mes professeurs vont me demander comment se sont passés mes vacances, oú je suis allée, et je vais répondre quoi ? Tout le monde part sauf moi. C’est complétement injuste d’avoir des personnes dans mon entourage qui ne s’occupent même pas de moi ! » Ai-je dis en larmes.
J’ai regardé mes parents qui ne disaient rien, puis je suis partie en courant, j’ai pris mon sac et je sorti de la maison en larmes. Lorsque j’ai ouvert la porte j’ai bousculé quelqu'un mais je ne me suis pas retournée.
« - Lucie ?! » Avait dit cette personne.
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690ème
1 487 points
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En novembre 2016
Suiiite :c
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749ème
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En novembre 2016
Anonïmous
Vous pouvez souhaiter l'anniversaire de Milnou !!!!! C'est aujourd'hui
ah ok
Bon anniv ;o
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2 195ème
830 points
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En novembre 2016
Ooooooh *-* Suite ! <3
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2 195ème
830 points
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En novembre 2016
C'est tellement bien !
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749ème
1 417 points
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En novembre 2016
Suite sinon!!
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1 503ème
978 points
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En novembre 2016
Petite vieille x)
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En novembre 2016
Suiiite
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En novembre 2016
Suite !!!
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En novembre 2016
Chapitre 28 : Un mois et pourtant.
Mai 2016,
J’étais toujours dans ce foutu hôpital,mais pas dans celui ou l’on garde les gens fous.
Non dans un hôpital publique, puisque j’avais une double fracture de la main, des égratignures et mauvaise mine. J'étais isolée du monde et cela me plaisait. J'allais sortir dans peu de temps pour aller dans un centre. C'était la décision de mes parents et je n'avais pas le choix. Mais je m'en foutais.
Je ne mangeais plus rien, j’avais perdu 5 kilos en moins d’un mois, en fait je me laisser mourir.
Parce qu’il me manquait, parce que je ne pouvais vivre sans lui et parce que je l’aimais infiniment.
Les médecins m’obligeaient à marcher tout les jours afin de ne pas perdre la marche en restant allongé sur un lit.
Aujourd'hui j’avais décidé d’y aller avant, pour ne pas à subir les discussions avec ce vieux médecin sans intérêt. Il me parlait de la vie en elle-même tout les jours. Si je ne l’avais pas croiser ici mais dans la rue j’aurai vraiment cru que c’était un philosophe.
J’ai ouvert ma chambre puis je suis partie à droite, alors que normalement je vais tous le temps à gauche, mais bon moi je fais les choses à l’inverse.
Je déteste l’hôpital, la puanteur, l’odeur, les gens. Je déteste tout les monde.
On dit que le plus difficile lorsque l’on perd quelqu'un c’est l’enterrement, puisque c’est la dernière fois qu’on voit la personne. Mais moi je pense que le plus difficile c’est de continuer à vivre sans cette personne. Sans la personne qui vous donnait la joie de vivre, l’envie de continuer. Pour moi c’est le plus difficile.
Aujourd'hui je ne vis plus non. Je survis.
J’avancais le regard dans le vide, parce qu’ici il n’y a que des personnes malheureuses, qui soufffrent. Lorsque quelque m’a attrapé le bras :
« - Lucie ??! » Avait-il dit avec une voix d’étonnement.
Je me suis retournée, parce que personne n’avait prononcé mon nom depuis longtemps. Et que sa voix me faisait penser à Nolan.
« -Oui ? »
« - C’est moi Ronan ! » Avait-il dit avec un sourire à la bouche.
Je ne le reconnaissais pas, je ne savais même pas qui il était et à vrai dire je m’en foutais un peu.
« - Tu ne te souviens pas ? On était au collège ensembles ? On était inséparables ! » Avait-il dit comme çi il revivait nos moments ensembles.
Quand à moi un froideur m’avait atteins. Je me souvenais à présent de lui. Il m’avait abandonné, comme tous les autres.
« - Ah oui. Et si on était si inséparable pourquoi m’as-tu abandonné ? Non en fait je connais déjà la réponse : Parce que tu es comme tous les autres : un lâche. »
Après ces paroles j’ai fais demi-tour et je suis retournée dans ma chambre.
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Aujourd'hui, à 15:20
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