C'est libre


Dusk
1 018ème
1 201 points
En juillet 2018
Dusk niveau/9 experience 585 facteur
Maintenant, je me demande comment ça se fait que, malgré tout ce temps où l'on a pas parlé, on soit restées dans la liste d'amis l'une de l'autre.
Un an, une année entière.
Une brisure qu'il y avait eu, pas entre nous mais qui a suffit à tout arrêter.
On ne s'est pas disputés.
On a juste perdu le contact.
Un message sans réponse, pas de nouvel essai de discussion.
J'm'en sens tellement désolée...
Qui que tu sois maintenant, comment que tu te représentes, tu comptes toujours pour moi.
C'est bizarre l'amitié.
J't'adore toujours, peut-être que je ne te l'ai pas suffisamment dit.
Tu me manques un peu.
Je regrette aussi.
J'ai maintenant envie qu'on reparte, peutêtre pas du début mais un peu plus tôt que lorsque l'on avait tout laissé.
Et tant pis si ça fonctionne pas, au moins j'aurais essayé.
Papillon
754ème
1 417 points
En juillet 2018
Papillon niveau/8 experience 820 facteur
Désolée pour vous trois..
Astral(e)
634ème
1 568 points
En juillet 2018
Astral(e) niveau/8 experience 680 facteur
Monter sur les épaules des géants et voir plus loin
Astral(e)
634ème
1 568 points
En juillet 2018
Astral(e) niveau/8 experience 680 facteur
Il y a 76 ans, c'était la rafle du Vel d'hiv.
Floody
390ème
1 629 points
En juillet 2018
compte supprimé niveau/9 experience 645 facteur
Et aujourd'hui, on survit.

Parce que personne n'en est capable,
Parce que personne n'en a envie,
Parce que personne ne dresse la table,
Même quand tout est affaibli.

Ces desserts représentant la vie,
Tous posés, prêts à être dégustés,
Peu importe s'ils en ont envie,
Personne ne viendra les manger.

Tous trop coincés, vive la liberté,
On aime la vie, qu'on aime juger,
Vive les morts, vive les vifs,
C'est pas d'ici, qu'on est natifs !

Tout est prêt, vous pouvez y aller,
Ils vont mourir, capituler,
Ah, non, en fait c'est raté,
Ils continuent ce combat acharné.
Astral(e)
634ème
1 568 points
En juillet 2018
Astral(e) niveau/8 experience 680 facteur
ToInsanity
Apocalypse.
1 542ème
970 points
En juillet 2018
desire — meg myers (ou desire hucci remix)
i feel like i'm drowning — two feet
ignition — jabberwocky ft owlle
your love — david guetta ft showtek
Feu
23ème
7 122 points
En juillet 2018
Feu niveau/12 experience 2070 facteur
Je t’en supplie, pars.
Laisse moi t’oublier
Je n’aurais pas du m’attacher autant à toi et tes mots doux
Car depuis le début tu mentais
Et je n’ai rien vu
Reine Camille.
759ème
1 265 points
En juillet 2018
compte supprimé niveau/10 experience 680 facteur
design/quote.png
Feu Je t’en supplie, pars.
Laisse moi t’oublier
Je n’aurais pas du m’attacher autant à toi et tes mots doux
Car depuis le début tu mentais
Et je n’ai rien vu

true
Floody
390ème
1 629 points
En juillet 2018
compte supprimé niveau/9 experience 645 facteur
"Ne perdez pas votre temps à débattre avec des personnes n'ayant pas l'empathie nécessaire pour reconnaître les expériences autres que la leur comme étant légitimes."
Sophie Labelle, Assigned Male
Floody
390ème
1 629 points
En août 2018
compte supprimé niveau/9 experience 645 facteur
On se bat pour que la phrase "il a bien une tête de gay, lui" ne soit plus prononcée, car "on ne peut reconnaître un homosexuel en regardant sa tête".
Alors où est la logique lorsqu'ils disent "il a bien une tête de facho, lui" ?
Je me sens... Trahi.e
Comment pourrait-on reconnaître un facho en voyant sa tête... ?
On reconnaît les meurtriers ? Les "méchants" de la société, on les reconnait à leurs têtes ?
Il m'a toujours semblé que non, pourtant...
Reine Camille.
759ème
1 265 points
En août 2018
compte supprimé niveau/10 experience 680 facteur
design/quote.png
Floody On se bat pour que la phrase "il a bien une tête de gay, lui" ne soit plus prononcée, car "on ne peut reconnaître un homosexuel en regardant sa tête".
Alors où est la logique lorsqu'ils disent "il a bien une tête de facho, lui" ?
Je me sens... Trahi.e
Comment pourrait-on reconnaître un facho en voyant sa tête... ?
On reconnaît les meurtriers ? Les "méchants" de la société, on les reconnait à leurs têtes ?
Il m'a toujours semblé que non, pourtant...

🏳🌈
Reine Camille.
759ème
1 265 points
En août 2018
compte supprimé niveau/10 experience 680 facteur
Je n'irais jamais mieux
Fetish
993ème
1 217 points
En août 2018
Fetish niveau/10 experience 815 facteur
Je suis dévastée, laminée, à bout de souffle. Au terminus d'une chute sans fin qui a terminé bien des années plus tôt. Je ferme les yeux. Dans la tête de détachent les fragments d'une histoire dont je connaissais déjà la fin. Au fond de moi, n'ai-je pas toujours eu la conviction que ma vie se terminerait ainsi ?
Astral(e)
634ème
1 568 points
En août 2018
Astral(e) niveau/8 experience 680 facteur
"Dis moi où tu as mal, je te dirai qui tu es"
Dosseh, Habitué

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"Après avoir gagné la guerre
Faudra encore que j'aille gagner la paix"

"Parce que la chance n’est que le sourire du talent"

"Armé, j'suis pour la justice, peu importe qui la donne
[...]
J'suis pour la vérité, peu importe qui la dit"

Kaaris, Le bruit de mon âme
Floody
390ème
1 629 points
En août 2018
compte supprimé niveau/9 experience 645 facteur
L'homme du train, comme j'aime tant l'appeler, annonce l'arrêt du transport en commun. Tout s'arrête, les passagers attendent l'ouverture des portes avec impatience. Le monde bouge, tout va très vite et il n'y a plus le temps d'apprécier les petites choses. Lorsque les portes s'ouvrent, le train s'est arrêté depuis moins de deux secondes. Tout le monde se rue à l'extérieur, sauf ceux qui vont aux prochains arrêts. Les nouveaux passagers rentrent pendant que les autres sortent sans aucune forme de respect et le train est de nouveau rempli de corps collés les uns aux autres, transpirant l'impatience et le stress.

Mais où vont tous ces gens ?

Le travail, encore. Le travail, toujours. Les trains emmènent au travail, les trains emmènent à la prison, les trains nous éloignent de la liberté. Sans faire référence aux erreurs du passé, je le dis haut et fort dans le train : on est tous du bétail, enfermés dans des wagons pour aller travailler. Et même si je le dis, personne n'ose répondre ou même nier. Les passagers sont dans leurs pensées, entre la liste de courses du soir et le travail qui les attend toute la journée. Et moi, j'attends. Moi, je veux la liberté. Elle n'existe pas, je le pense sincèrement. Vouloir la liberté est pour moi comme vouloir un super-pouvoir.

L'homme du train, comme j'aime tant l'appeler, annonce l'arrêt du transport en commun. Les portes s'ouvrent, les passagers sortent, j'attends. Dès que le premier nouveau passager entre, je sors tranquillement. Il n'y a personne en face de moi ni autour, plus personne, je suis seul. Les nouveaux passagers sont dans le train, les anciens marchent dans la gare avec leurs sacs et valises pour certains, tandis que moi, ma valise noire à roulettes en main, j'avance dans le vide. Il n'y a personne autour de moi, les passagers ont disparu. Il est deux heures, l'après-midi commence pour beaucoup d'entre nous. Pour moi, c'est mon ancienne vie qui recommence.

Mais où vais-je donc ?

J'avance, je m'éloigne du train qui est déjà repartit, puis je lâche ma valise. Au milieu, je la laisse seule et pars à pas rapide droit devant moi. Et, alors que je suis en train de courir, mes bras se décollent de mon corps puis s'avancent, s'accrochant au seul corps qui ne transpire pas l'impatience et le stress dans cette gare. J'ai parcouru trois mètres, ma valise est juste derrière moi, mais j'ai couru un véritable marathon pour prendre ce corps dans mes bras. Mon ancienne vie recommence, et je le dis haut et fort dans la gare : Je suis de retour. Cette fois-ci, les anciens passagers ou futurs nouveaux passagers me regardent presque tous, choqués d'assister à ce genre de scène en vrai qui ne devrait exister que dans les films à l'eau de rose. Et, cette fois-ci, on me répond haut et fort dans le creux de l'oreille : Bon retour à la maison.

Où allons-nous ? La vie avance, le monde avance, plus personne n'a le temps, on ne profite plus des petites choses... Alors, moi, je m'efforce de profiter de tout. Je suis parti la semaine dernière, les passagers pensent que je suis parti il y a longtemps, ils pensent que ce corps appartient à ma petite amie, mais peu importe : je suis de retour.
Fetish
993ème
1 217 points
En août 2018
Fetish niveau/10 experience 815 facteur
C'est mort.
Astral(e)
634ème
1 568 points
En août 2018
Astral(e) niveau/8 experience 680 facteur
On est allés en haut de la colline, tout en haut de la colline...
On s'est allongés sous les étoiles, sous les froides et lointaines étoiles
Et on a bu, et on a fumé, qu'importe notre déchéance
Car nous savons que le moyen importe peu, tant qu'on obtient l'ivresse

On est allés en haut de la colline, tout en haut de la colline...
On a regardé mourir la nuit, mourir la belle et sombre nuit
Et renaître le soleil, et on a ri, on s'est aimés en silence
Car nous savons que le jour qui se lève est un miracle

On est allés en haut de la colline, tout en haut de la colline...
Et on a voulu danser pieds nus sur l'herbe, sur la douce et tendre herbe
Mais avant cela nous avons répandu des éclats de nos verres sur le sol
Car nous savons que les plus belles joies sont teintées de douleur
anonymous
565ème
1 692 points
En août 2018
anonymous niveau/9 experience 695 facteur
Jetez un oeil aux vidéos "Cher Corps" de Léa Bordier sur youtube, ça vaut le détour ! On retrouve dans cette série de vidéo beaucoup de personnes qui parlent de leur ressenti par rapport à leur corps, souvent de l'adolescence jusqu'à aujourd'hui, les complexes sont aussi abordés et la plupart du temps, la personne interrogée explique comment elle a pu vaincre ses complexes, comment moins s'en soucier etc ; personnellement j'aime bien regarder ces vidéos qui redonnent le sourire et qui nous font remettre en question nos complexes et notre vision des choses 😉 un exemple plus bas
|
V
https://www.youtube.com/watch?v=8yGw57heaL8
Floody
390ème
1 629 points
En août 2018
compte supprimé niveau/9 experience 645 facteur
design/quote.png
Astral(e) On est allés en haut de la colline, tout en haut de la colline...
On s'est allongés sous les étoiles, sous les froides et lointaines étoiles
Et on a bu, et on a fumé, qu'importe notre déchéance
Car nous savons que le moyen importe peu, tant qu'on obtient l'ivresse

On est allés en haut de la colline, tout en haut de la colline...
On a regardé mourir la nuit, mourir la belle et sombre nuit
Et renaître le soleil, et on a ri, on s'est aimés en silence
Car nous savons que le jour qui se lève est un miracle

On est allés en haut de la colline, tout en haut de la colline...
Et on a voulu danser pieds nus sur l'herbe, sur la douce et tendre herbe
Mais avant cela nous avons répandu des éclats de nos verres sur le sol
Car nous savons que les plus belles joies sont teintées de douleur

C'est beau.
C'est ton oeuvre ?
Astral(e)
634ème
1 568 points
En août 2018
Astral(e) niveau/8 experience 680 facteur
design/quote.png
Floody C'est beau.
C'est ton oeuvre ?

Uii, sinon, j'aurais précisé que ça ne venait pas de moi ^^ Pour information, j'ai composé ça dans ma tête quand mon "petit cousin" à cassé un verre Perrier, et qu'il a failli se couper, mais il était quand même mort de rire, parce qu'on faisait de la mousse au chocolat.
Bref, c'était mon petit racontage de vie pardon, mais depuis que ce gosse est entré dans ma vie, je me sens tellement plus heureuse :3
Floody
390ème
1 629 points
En août 2018
compte supprimé niveau/9 experience 645 facteur
Avec mon amie, on l'a regardé.
Il était beau, vraiment bien fait.
Pour une fois, ils y ont mis le budget.
Chose que je n'aurais pas préférée.
C'est trop tard, je suis traumatisé.
Je ne pourrai plus jamais en regarder.
J'ai paniqué.

Avec mes amies, on s'amusait bien.
Puis des enfants se sont amusés.
J'ai pas compris, j'ai revu mon chien,
J'ai paniqué, arrêté de respirer,
Elle m'a demandé ce que j'avais,
L'autre le savait.
La première lumière a éclaté,
La première larme a coulé,
J'ai paniqué.

Pour moi, tout cela est terminé.
Je suis pyrophobe, c'est irréversible,
En plus du reste, je ne peux m'amuser.
L'an prochain ils iront, je resterai.
J'éviterai internet et la télé
La nuit et sa beauté
Pour me concentrer sur mon bébé,
Une partie de mon cœur, bête tant aimée.

~~
Quelle magnifique source d'inspiration, Astrale ! 😆
Astral(e)
634ème
1 568 points
En août 2018
Astral(e) niveau/8 experience 680 facteur
design/quote.png
Floody Avec mon amie, on l'a regardé.
Il était beau, vraiment bien fait.
Pour une fois, ils y ont mis le budget.
Chose que je n'aurais pas préférée.
C'est trop tard, je suis traumatisé.
Je ne pourrai plus jamais en regarder.
J'ai paniqué.

Avec mes amies, on s'amusait bien.
Puis des enfants se sont amusés.
J'ai pas compris, j'ai revu mon chien,
J'ai paniqué, arrêté de respirer,
Elle m'a demandé ce que j'avais,
L'autre le savait.
La première lumière a éclaté,
La première larme a coulé,
J'ai paniqué.

Pour moi, tout cela est terminé.
Je suis pyrophobe, c'est irréversible,
En plus du reste, je ne peux m'amuser.
L'an prochain ils iront, je resterai.
J'éviterai internet et la télé
La nuit et sa beauté
Pour me concentrer sur mon bébé,
Une partie de mon cœur, bête tant aimée.

~~
Quelle magnifique source d'inspiration, Astrale ! 😆

C'est quand ton chien s'est enfui ?

--
Disons que j'aime qu'il m'inspire 😆
Floody
390ème
1 629 points
En août 2018
compte supprimé niveau/9 experience 645 facteur
design/quote.png
Astral(e) C'est quand ton chien s'est enfui ?

--
Disons que j'aime qu'il m'inspire 😆

La samedi sept juillet, peu après minuit. Le mois de juillet tout entier, j'ai redouté les feux d'artifices que j'allais voir pendant les vacances.
Le cinq août à 23h47, le feu d'artifice de mon village a débuté et j'ai presque fait une crise de panique. Le fait de ne pas être seul m'a aidé à tenir.
Puis mardi je suis allée avec une amie aux fêtes de son village et des enfants ont allumé des pétards puis des petites fusées. Là aussi, j'ai paniqué. Mais on est allée dans la salle des fêtes pour entendre la musique à fond plutôt que les fusées et pétards.
Un événement si simple m'a réellement traumatisé, c'est frustrant.

En fait, c'est bien de raconter sa vie xD
Ennuyeux pour les autres, mais reposant pour soi-même ! xD

~
Moi, comme tu l'auras sûrement deviné, c'est mon chien qui m'inspire en ce moment xD
Et vu toutes les galères qu'il me fait vivre, j'ai une sacré réserve d'imagination en tête...
Astral(e)
634ème
1 568 points
En août 2018
Astral(e) niveau/8 experience 680 facteur
J'aimerai trop avoir un chien (ou un chat. Plutôt un chat en fait xD)
Astral(e)
634ème
1 568 points
En août 2018
Astral(e) niveau/8 experience 680 facteur
C'est con à dire mais en ce moment, je me sens bien dans ma peau et intéressante.
₩ings
1 243ème
1 071 points
En août 2018
₩ings niveau/8 experience 505 facteur
Je suis ivre.

Tu es là, devant moi. Tes épaules tremblent et tes mains se tortillent. Tu as les cheveux longs. Ils tombent sur ton visage et cachent légèrement tes yeux. Tu les gardes ouverts même si ils te piquent. Je le vois au légers tremblements qui animent ta paupière. Tu as les lèvres étroitement serrées, plissées et devenues blanches tellement tu forces. Tu ne me regardes pas droit dans les yeux. Non. Tu détournes le regard. Tu n'oses pas m'affronter de face. Tu as les yeux qui fixent un point invisible, légèrement plus bas que mon oreille droite. Moi je te fixe. Sans retenue. Insolente, je plonge mon regard dans tes yeux gris. Ils ont la couleur des nuages avant la tempête. Avant qu'elle n'éclate soudainement. Je la vois arriver moi. Je la vois dans les tremblement de tes lèvres pâles et dans le léger plissement de ton œil gauche. Et elle arrive. La tempête. Elle éclate.
Tu fermes les yeux forts pour les retenir, mais elles coulent. Tes larmes. Elles longent la courbe de nez, glissent lentement sur tes joues, contournent ta bouche ouverte dans un cri muet, et restent accrochées le long de ta mâchoire. La première arrive, légère, reflétant un rayon de soleil. La deuxième arrive et grossit la première. Un moment passe avant que les autres n'arrivent, toutes à la suite, ruisselantes, se fichant de mouiller ton t-shirt, laissant des marques brillantes, des sillons lumineux sur tes joues roses.
Je te regarde pleurer, la tête penchée. Et les coins de ma bouche frémissent. Je ne peux pas m'en empêcher, je souris. Les lèvres recourbées découvrant mes dents. Je souris et m'approche de toi. Passe une main dans tes cheveux et ferme les yeux quelques secondes avant de moi aussi exploser. Je ris. Je ris aux éclats. Comme si j'avais trop bu, je ne peux plus me contrôler. Mes épaules de secouent et ma tête se balance en arrière. J'ouvre pleinement la bouche et m'abreuve de tes larmes. De ta souffrance. Je suis ivre. Je me sers de ta tristesse pour vivre. Je bois tes larmes, savoure le sel contenu dedans, les laissent couler dans ma gorge et je les sens dans mon corps. Dans chaque endroit de mon corps.
Je frissonne.
Je suis ivre de vie.
Floody
390ème
1 629 points
En août 2018
compte supprimé niveau/9 experience 645 facteur
"On Tuesday the 27th, my son was killed in a gunfight against British troops retreating from South Carolina. The war was already over. As you know, John dreamed of emancipating and recruiting 3000 men for the first all-black military regiment

His dream of freedom for these men dies with him."

Eliza, Hamilton, Lin-Manuel Miranda.
Astral(e)
634ème
1 568 points
En août 2018
Astral(e) niveau/8 experience 680 facteur
J'avais une question : il a deux ans de moins, c'est important ?
Mehr
937ème
1 255 points
En août 2018
Mehr niveau/9 experience 600 facteur
Eid Mubarak.
Aujourd'hui, à 20:17
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