L'heroine aux oreilles de chat !

Oracle chapitre 14 :

Je me balade tranquillement dans cette ville qui me semble encore plus vaste depuis que je porte ma cape. Une vraie ville. Je n’en ai pas vu depuis… Je n’en ai jamais vu ! Je ne savais même pas à quoi ça ressembler lorsque je suis arrivée ici. Toutes ces maisons à pertes de vues et ces rues tracées par de la pierre avec toutes sortes de charrettes qui y circule, c’est si différent de ce que j’ai l’habitude de voir ! Quelles découvertes est-ce-que je vais encore faire au cour de mes prochaines aventures ?!

« -Zia ! »

Yakari coure ver moi avec enthousiasme, son sac à dos à la main. Depuis que nous avons sauvé les habitants, ils nous ont recueillis chez eux et ont même organisé une fête en notre honneur. Nous pouvons également nous déplacer librement et faire nos courses dans la ville à condition que je les aide s’il arrive quelque chose de grave. C’est pourquoi, chaque semaine, Yakari vas faire les courses tandis que je vais vérifier si tous se passe bien dans la ville. Le reste du temps, je me trouve une occupation qui m’amuse ou bien une activité pour me divertir avec Yakari. Et chaque soir, seul, je m’assois sur la plage et observe le coucher de soleil sur la mer scintillante. Elle me manque. La mer me manque. L’océan me manque. La navigation mon manque. Les pirates me manquent… J’ai passé tant de temps à admirer l’eau qui s’étend jusqu’à l’horizon que je ne supporte pas l’idée de ne plus jamais y retourner. Cela fait plus d’un mois que nous sommes ici et je ne suis jamais retournée sur un simple navire.

« -Tu ne devinera jamais la nouvelle ! S’exclame mon ami tout exister !
-Quoi ? Qui-a-il ?!
-Un… Un… Bateau… J’ai rencontré… Un vendeur de bateaux ! Répond-t-il tout essouffler. »
Que veut-t-il dire par là ? Il veut partir ?! S’en aller de cette île gigantesque par la mer ? Est possible ? Les habitants nous y autoriseraient ? Je n’ai pas le temps de lui poser la question qu’il me prend par le bras et m’emmène avec lui à travers les rues. Nous zigzaguons dans la ville comme si nous connaissons l’endroit par cœur. Et, enfin arriver à destination, j’oublie toutes mes questions et me laisse éblouir par ces voiliers à pertes de vues ! Ils sont tous différents, que ce soit la forme des voiles, la taille des navires ou bien le type de bois. Mais ils sont tous là pour la même raison : toucher l’océan et naviguer dessus avec la plus grande liberté que l’on n’ait jamais connue !

C’est plus fort que moi, je m’approche, je monte sur l’un d’entre eux, grimpe le mat, et caresse la voile en avançant lentement. Tant de souvenir me reviennent d’un cou. Mais un en particulier, c’était lors de mon dernier jour avant de toucher pour la première fois la terre ferme, il y a environ deux mois : Je viens de finir ma leçon d’escrime et, comme j’ai du temps libre, j’en profite pour monter le mat pour respirer un peu d’air frais ! Je prends l’une des cordes qui pend près de la grande barre, puis je me laisse balancer dessus, je prends de l’élan et fonce en m’accrochant du mieux que je peux à l’épaisse ficelle. Puis, avec toute la vigueur de mon corps, je la lâche et me laisse tombé par terre avec une arriver au sol héroïque !
« -Zia, mais qu’est-ce que tu fais ! me crie mon père ! »
Non, il ne m’a pas dit ça… Il m’a dit…
« -Qu’est ce qui t’a pris de faire une chose pareille ! »
Je reprends mes esprits et me rends compte que mes pensées se sont réalisées. Une corde bouge encore jusqu’au-dessus de ma tête, j’ai une sensation de pression et une légère douleur sous mes pieds, et le marchand très en colère est tenus debout devant moi. Je devine vite que c’est lui qui s’est énerver tout à l’heure alors que j’ai confondue ses paroles avec celles de mon père.

« -Et bien ! Il te plait ce bateau ! s’agace-t-il
-Désoler...
-Vient Zia, on va regarder les autres stands, me suggère Yakari. »

Et, sans attendre ma réponse, il m’entraine à travers le marcher. C’est là que je me rends compte que c’en est un. J’étais tellement absorber par les navires que je ne me suis même pas rendue compte du lieu et des personnes qui nous entoure. Je n’ai jamais vue cet endroit au paravent. Si, je l’ai vue… Mais pas de cette façon. Je repère alors une affiche qui répond à toute mes questions. Dessus il est marqué qu’un marché et organiser une fois par ans pendant 3 semaine, durant lequel les habitants peuvent vendre ce qu’ils veulent.

« -Je me demande comment il a fait pour se procurer tous ces bateaux. Remarque mon amie alors que nous nous remettons à marcher. Il n’a quand même pas pu les garder tous le temps chez lui (surtout qu’ils ne passeraient surement pas, ou alors ils prendraient toute la place de l’habitation) pour tenter de les vendre une fois par ans.
-C’est vrai que c’est étonnant… Mais bon, ne nous préoccupons pas de ça. Pourquoi voulait-tu me montrer ce stand, tu sais très bien que nous ne serons jamais autorisé à partir. »
Il a l’aire gêné par mon questionnement. Mais me répond tous de même.
« -Je voulait simplement te montrer les bateaux, je sais à quel point tu tiens à la mer et je me suis dit que ça te ferais plaisir, rien de plus ! Explique-t-il. »

Je comprends vite qu’il ment mais je ne riposte pas. Nous continuons de visiter la grande place et apprenons beaucoup de choses sur le monde extérieur en découvrant des objets inconnus. Yakari, qui est un inventeur et bricoleur expérimenter discute beaucoup avec un certain Jules, qui tient un stand d’ingénieur dans lequel il expose ses créations. Ils ont l’air de bien s’entendre et reste ensemble un bon moment jusqu’à ce que l’’un de ses collègues vienne lui rendre visite à son tour. Alors le jeune garçon prend l’adresse de Jule dans la ville et nous partons tous deux pour voir ce qui nous attend par la suite. J’ai pris des notes pendant que les « spécialistes » partageaient leurs connaissances, et il faut dire que, même si je n’ai pas tous compris, j’en ai appris beaucoup. Toutes ces sensations qui me donne envie de voire de l’extérieur m’incite à partir d’ici et vivre de nouvelles aventure plus sensationnel les unes que les autres. Celles-ci me manques. Je comprends soudain ce que pensait Yakari en me montrant ces navires. Mes intuitions étaient juste, j’en suis certaine maintenant : Il veut partir ! Et je suis bien décider à le suivre.

fin !

petite actus triste : Je suis vraiment désoler, mais à partir de maintenant, je vais devoir poster un chapitre tout les deux semaines seulement, encore désoler...

Spécial fiche Tu peux aussi envoyer en deux fois

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Naïry J'adore !
Et ce n'est pas grave tant que tu n'arrête pas définitivement

un inconnu comment ca "deux fois" ? En deux partie ?

Cari J'aime swite !

Oracle chapitre 16 :

« Où suis-je ? Qu’est ce qui m’ai arrivé ? » Mes esprits s’embrouillent. « Qui suis-je ? Non, je sais qui je suis, je m’appelle… Je m’appelle… » L’image d’un jeune garçon aux cheveux brun m’apparait, il crie quelque chose. « Zia ! » Zia. Est-ce mon nom ? Mais, oui, je me souviens maintenant ! Je voie un homme grand et costaud avec un manteau rouge et un chapeau noire, je voie un visage familier qui s’approche de lui, un visage trop familier… Moi ! c’est moi ! « Zia ? Zia ?! » ce mot résonne dans ma tête, il est dit d’une voix que je connais, celle de mon père. « C’est moi, je m’appelle Zia. » dit la jeune fille d’environs 5 ans qui est à côté de lui. J’avais 5 ans. Mais alors, que s’est-il passer après ? Comment est-ce que je me suis retrouver ici ?! La réponse doit-être quelque part d’autre, dans un souvenir moins lointain… Je dois en avoir des tonnes dans ma tête, il faut que je réfléchisse… Des images vagues m’envahisses, elles se déroulent tous en même temps et pourtant, je parviens à les distinguer chacune dans les moindres détails. Un chat qui me fixe avec ses yeux jaunes et luisant, un phénix qui me suie avec des plumes scintillantes pleine d’espoir et de vie, les mêmes qui apparaisse sur cette tunique et de la même couleur que cette cape, la cape… Je sens quelque chose venant d’elle… Une sensation étrange m’envahie soudain… Je ne peux pas résister à la tentation de m’en approcher, je sens quelque chose monter en moi, quelque chose que je n’arrive pas à contrôler, j’ai brusquement l’impression que je peux tout accomplir… Et puis tout me revient ! Mon enfance avec les pirates, ma rencontre avec Yakari, Marie qui me révèle que j’ai des oreilles de chats, mon aventure contre le père de mon amie, cette histoire de prophétie grâce à laquelle j’ai eu ma cape, ma vie auprès des villageois, la visite de leur souverain, et… L’évasion !

« -Hé ! Elle se rév… HAAA !! »

La main de l’homme assit près de moi s’enflamme, je m’envole d’une façon spectaculaire, je sens l’esprit du phénix monter en moi, il est presque dans mon corps, lui et moi ne formons plus qu’un ! Je ne suis plus qu’un chat en feux, trois plumes scintille sur mon tors et mes poils poussent à une rapidité surnaturelle ! Je me sens forte, je suis la fusion de l’animale et de l’homme soutenue par l’esprit d’un oiseau mythique ! Je m’élance ver mes prédateurs, plus rapide qu’eux ! Un coup de pied par là et une griffure en plus par ici ! Je ne sais pas ce que ces hommes mijotent, mais pour m’être retrouver dans cette salle toute propre et sans odeur avec des personnes en blouse blanche qui passent de partout, je ne pense pas que ce soit des plus sympathique ! Je le retrouve face à mon dernier prédateur, Lénos ! Il me supplie de l’épargner mais je décide de l’ignorer. Je savais depuis le premier regard qu’il n’a rien de bon !

« -Zia ! »
Cette voix…
« -Zia, non, arrête ! »

Mes flammes se transformes en fumée. Mes griffes redeviennent des ongles et ma fourrure, de simples poils. Je me retourne avec hâte, et découvre le visage de Yakari, plein d’espoir… Et de peine : A son torse, son bras tient avec un bandage ! Je ne prête plus aucune attention à Lénos qui tente de se relever derrière moi, mes yeux son fixer sur cette seule et unique chose. Le jeune garçon suit mon regard.

« -C’est… C’est toi qui me l’a fait. »
Je panique.
« -Ils t’ont illusionné, ne les écoutes pas, je suis ton amie, je…
- Je sais, Zia. Ils ne m’ont rien fait, ne t’inquiète pas ! Je vais t’expliquer. »
Je tente de me calmer, ce qui n’est pas facile étant donné les conséquences.
« -J’étais dans le bateau, lorsqu’un crie m’a réveillé. C’était toi, qui m’appeler par mon prénom. »

Je n’ai aucun souvenir de cette action. Juste un vague rappel d’être sortie du bateau, et ensuite d’avoir combattue, je le sais, mais aucune image ne me revient. Juste les sensation…
« -Je me suis inquiéter, et je suis sortie le plus vite possible, continu Yakari. C’est là que je t’ai vue en train de te battre aves des hommes qui tentez de te mettre un sac sur la tête. Tu étais par terre et bougeais dans tous les sens. Je me suis approché pour t’aider, et tu m’as blessé avec ton épée. J’avais trop mal pour continuer, le temps que je me couvre le bras avec ma main, ils t’avaient déjà attrapé. C’est alors que je voyais vague, j’ai commencé à ne plus sentir mes pieds, puis mes jambes, puis tous mes muscles, j’étais totalement désorienter, jusqu’à ne plus savoir ce que je faisais ! »

Cela me remet en mémoire. Je me rappel, maintenant. Il m’est arrivé la même chose ! Mais pourquoi ?

« - Je me suis réveiller dans une salle similaire à celle-ci avec ce bandage au bras. Des hommes m’ont expliqué ce qui s’est passé, et tout m’est revenu ! »
Il s’approche de moi pour me chuchoter
« -Avec quelques mensonges, je dois l’avouer. Heureusement que je m’en suis rendue compte. »

Je hoche la tête. Même si cela m’étonne en raisons de la naïveté de Yakari. Mais c’est méchant de le penser.

« - Ensuite, ils m’ont guidé jusqu’ici, poursuit-il en reprenant la voix haute. Ils n’arrêtaient pas de me répéter qu’ils allaient tous m’expliquer, que ne n’avais rien à craindre d’eux… Et c’est là que, en entrant dans la pièce, je t’ai vue, d’abord je ne te reconnaissais pas, tu t’été transformer un chat enflammer de la taille d’un homme qui volait dans les aires, si tu vois ce que je veux dire. Et puis d’un coup, j’ai compris ! Et la suite, tu la connais ! »

Je ris, je ne me suis même pas rendue compte de ma forme, à ce moment-là. J’oublie la situation, je ne pense qu’a moi, et à Yakari. Je me rends compte que nous avons de la chance d’être en vie. Nos assaillants auraient pu être plus méchant… Mais je préfère ne pas songer à eux, je veux penser au jeune garçon qui est posé devant moi. Je m’apprête donc à commenter la déclaration de mon ami. Mais l’action se déroule d’une rapidité inattendue !

Cari Super comme d'habitude ^^ Swite :3

Oracle ACTU IMPORTANTE

Bonjour à tout les lecteur,

alors voilà, depuis un moment, je ne ressent presque plus aucune sensation quant j’écris, je me force même parfois, je me demande si l'histoire n'est pas trop monotone, pas trop lente... Je me demande franchement ce que ressentent les lecteurs...

En fait, je pense surtout que je manque d'inspiration, qu'il me faut d'autre idée pour passer d'une action à une autre... Je commence à m’ennuyer à force de me forcer à écrire tous le temps la même histoire...

Alors voilà ce que je vais faire : Je ne compte pas arrêter ma fiction, par ce que je me suis quant même donner du mal dessus, que je l'ai déjà bien commencer ainsi que des petits projets dessus, et que je n'aimerais pas vous laisser (et me laisser) ainsi en suspens en plein milieu de l'histoire. Ce que je vais faire, c'est faire une petite pause de quelques mois pendant laquelle je vais peut être écrire une autres histoires que j'ai en tête depuis un petit moment (même si je vais malheureusement surement moins écrire qu'avant) et puis me remettre à celle de Zia et Yakari à la fin du trimestre.

Voilà, vous savez tout.

Et n'hésiter pas à me dire ce que vous pensez de ce message, je serais heureuse de voire vos propositions (par ce que c'est vrais que j'ai décider cette idée toute seule, peut être que j'aurais pu agir autrement) et surtout, savoirs ce que vous ressentez réellement quant vous lisez mon histoire, soyez franche si vous la trouvez lassante.

et merci à tous de suivre mon histoire !

Dior' Suite ! J'ai trop hâte de savoir la suite ! :))
J'espère que tu le posteras bientôt !