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 L'heroine aux oreilles de chat !
par un inconnu en janvier 2018
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non classé
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En janvier 2018
un inconnu
prologue :
Notre histoire commence dans une petite maison situé dans un village portuaire à quelques lieux de la ville de Sabledoray, un enfant né. Mais un enfant hors du commun…
« -Regarde ses oreilles ! dit le père, Elles sont spéciales, je pense qu’elles vont nous causer des problèmes si nous gardons ce bébé ! »
La mère écouta ce que lui dit l’homme et acquiesça, malheureuse
A quelque pas de là, pendant la même nuit, un tsunami envahit la ville où vivait le cousin de la famille, qui alla rendre visite à celle-ci le lendemain.
Ce fut le père qui lui ouvrit.
« - Mon frère ! s’exclama-t-il, tu es trempé de la tête aux pied, que t’est -il arrivé !
- Hélas, répondit l’autre, Une gigantesque vague a envahi mon foyer, accepteriez-vous de me loger le temps que je reconstruise ma maison ?
- Je suis désolé, mais nous ne pouvons pas, nous avons déjà du mal à nous nourrir nous-même, et nous venons d’avoir un enfant. »
Les deux hommes se regardèrent. Soudain, le père eut une idée :
« - Tu n’as qu’à partir chez notre mère, en Amérique du nord, proposa-t-il, Elle est riche et te donnera de quoi te payer un nouveau logement. Emmène cet enfant avec toi, nous ne pouvons pas le garder non plus… »
La personne concernée regarda le bébé et comprit rapidement, tandis que son frère lui donna des vêtements secs.
Le lendemain, il réussit a retrouvé quelques affaires dans sa maison en ruine, et a trouvé un petit bateau pour le voyage. La famille dit au revoir à son cousin et il les remercia de l’avoir aidé.
Durant le trajet, il y eu une forte tempête, il y avait du brouillard, et l’on distinguait mal les formes. L’homme a bien cru que son heure avait sonné. Mais tout à coup, malgré la brume, il devina un gigantesque navire. Cependant celui-ci n’était pas ordinaire : c’était un bateau de pirate ! Tant pis ! L’adulte fit de grands gestes et par chance, le voilier s’arrêta devant le petit navire et l’équipage lui lança une échelle. Le bébé dans les bras, le naufragé la grimpa. Mais tout à coup, un requin jaillit de la mer et avec la gueule grande ouverte, engloutit l’homme entier juste après qu’il est donné l’enfant au capitaine de ce bateau.
« -Qu’allons-nous faire d’elle (car oui c’est une fille), se plaît le second, Elle ne nous servira à rien si nous la gardons !
- Regarde bien, lui répondit le pirate qui la tient, Ses oreilles ne sont pas ordinaires, je sens même qu’elles sont plus précieuse qu’un diamant. Si nous adoptons cette enfant, il nous sera sûrement très utile, je ne sais pas ce qu’il me fait dire ça, et pourtant, c’est ce que je vais faire ! »
Et c’est ce qu’il fit.
« Donnez-lui une quelque chose pour cacher ses poils, rajouta-t-il, Je ne veux pas qu’elle sache qu’elle en possède, il faudra garder le secret le plus longtemps possible ! Promettez-le-moi ! »
Tout le monde cracha par terre en signe de serment et ce fut ainsi.
A suivre…
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652ème
1 540 points
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En janvier 2018
Docteur Who
C'est... Excellent ! 
Ta manière d'écrire ce prologue est très étrange... Je veux dire... Ça ressemblerait presque à quelqu'un qui raconte un fait qu'il a vécu plutôt qu'un narrateur qui raconte une histoire.
La description est présente mais, peut-être pas assez. Tu es passée très vite sur les actions en général.
Ca ne fait pas très "raconté" à la manière d'un roman! Après c'est peut-être voulu parce que c'est le prologue mais, j'espère que pour la suite des chapitres se sera plus détaillé et développé, parce que sinon (personnellement) je risque de décrocher assez vite ^^'
Mais pour le moment, je réclame la suite! 
Un narrateur dans l'histoire n'est pas dérangeant ^^
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2 278ème
817 points
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En janvier 2018
j'ai perdu mon anciens compte, alors je continue sur un nouveau. ca c'était le prologue alors ce n'es pas le même personnage qui raconte. Cette fois, ce sera le personnage principale qui parlera !
Chapitre 1 :
Je m’appelle Zia, je dois avoir dans les environs de 11 ou 12 ans. Je vie sur un bateau nommé « la terreur de la mer » en tant que pirate ! J’ai était adopté il y a longtemps par Gaspar (le capitaine de ce bateau). Gaspar a toujours eu un comportement étrange avec moi, il me protège comme une pierre précieuse et n’a pas l’air de me regarder comme un simple humain. En revanche, celle qu’il regarde souvent c’est Marie, sa femme, je n’aime pas Marie, elle le charme et lui oblige à lui donner plus de la moitié des trésors ! Cependant, une fois, ils ont trouvé dans un des coffres une robe uni bleu pour enfant c’est celle que je porte en ce moment (au départ, elle était trop grande mais maintenant, elle devient petite).
« -Zia ! m’interrompt papa (c’est comme ça que je l’appelle même si ce n’est que mon père adoptif) dans mes pensées, c’est l’heure de ta leçon d’escrime dépêche-toi !
-j’arrive ! »
Je monte sur le pont, rejoindre Gaspar, et on commence le cours. Une fois celui-ci terminée, je profite du fait qu’il détourne le regard pour grimper en haut du mat et jouer à me balancer de cordes en cordes !
« -YOUPI !! je cris
-Descend de là tous de suite, m’ordonne papa qui vient de me remarquer ! »
Oups, il m’a vu ! On ne peut jamais s’amuser ici. Je glisse sur la corde que j’ai attrapée pour me rapprocher du sol, puis je saute avant d’atterrir de façons héroïque !
« -arrête de faire ta maline, se plait encore mon père, les yeux regardant le ciel. Rentre dans ta cabine ! »
C’est ce que je fis. Une fois dans celle-ci, je la regarde comme si c’était la première fois :
C’est une pièce avec peu d’espace dans laquelle il y a un grand coffre (qui fait guise de lit), à côté, une petite table (sans chaise) sur laquelle il y a une bougie, une carte du monde et une longe vue (j’apprends aussi la géographie). Tous à droite, une toute petite armoire où je range une paire de chaussures –que je n’utilise jamais- et un fleuret pour mes leçon d’escrime. Et enfin, au fond, un petit hublot pour voir la mer…
Je range mon arme et me laisse tombée sur le lit. Je ferme les yeux, et imagine un autre monde, celui qu’il y a au-delà des mers, j’imagine la terre, les héros et animaux qui y vivent, les forêts, à quoi peuvent bien ressembler les arbres dans la réalité (je n’ai jamais touché la terre ferme car les pirates se déplacent uniquement sur la mer pour chercher des trésors) ? Et les animaux non aquatiques ? Et les volcans ? Et les maisons ?
« -Zia ? »
Et le sable ?
« -Zia ? »
Et les grottes ?
« -Zia ! »
Une voix me réveille soudainement, j’ouvre les yeux. Mon père est penché sur moi, l’air inquiet. A moitié endormi, je me lève, et regarde par le hublot. Ça alors ! Nous sommes déjà le matin, je me suis donc endormis la soirée dernière et je suis restée ainsi toute la nuit sans avoir diner ! Justement, je meure de faim. Je commence à monter par les escaliers pour le petit déjeuner. Mais tous à cou, un cri me surprend :
« -TERRE EN VUE ! »
Gaspar qui était resté derrière moi me doubla à toute allure pour arriver sur le pont, sûrement surprit tous comme moi. La terre, après toutes ces années j’aller peut être enfin sentir la terre ferme sous mes pieds ! Je monte aussi (avec une bien meilleure forme que tout à l’heure). Lorsque j’arrive, je vois que presque tous l’équipage est présent sur le pont. L’un des matelots et le capitaine sont tout en haut du mat, (papa à une longue vue dans le mains) et contemplent l’Île qui se pose à plusieurs mètres du bateau.
« -Nous allons y accoster, fini par déclarer Gaspar ! »
Mon cœur bat à tout allure !
A suivre…
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773ème
1 393 points
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En janvier 2018
Suiiite !
Quelques fautes quand même, mais j'aime bien. ^^
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2 278ème
817 points
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En janvier 2018
merci @Zozo38 ! Et désoler, je suis bon,ne en rédaction mais nul en orthographe :{
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1 023ème
1 195 points
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En janvier 2018
Bon, en dehors des fautes j'ai juste une remarque à faire...
Ton bateau pirate c'est pas un peu le monde des bisounours? ^^' Après ça peut être un choix de l'histoire je ne critique pas, je trouve juste que la petite elle vit sur un bateau où son père adoptif c'est un capitaine pirate qui prend le temps de lui donner des leçons d'escrime et de géographie et qu'à part la belle-mère qui a pas l'air super cool, c'est la petite maison dans la prairie la famille là ^^'
Alors je me trompe peut-être et la suite de l'histoire va peut-être me démentir, mais pour le moment, sa vie de pirate à l'air d'être un peu trop "belle" si je peux dire ça comme ça...
En même temps quand on me parle "pirates" j'ai Pirate des Caraïbes dans la tête (donc les sales gueules, pas de pitié et tuer ou être tué en permanence).
Enfin bref! Je me plains encore pour trois fois rien
Suite!
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2 278ème
817 points
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En janvier 2018
Docteur who, ca me fais plaisir que tu critique mes création. je n'aime pas beaucoup les histoires tristes, donc ca peut effectivement sembler une vie de Bisounourse; Dans les chapitres que j'ai écris jusqu'a maintenant (j'en suis au  il n'y a pas beaucoup d'actions mais surtout des mystères. je n'y ai pas beaucoup fait attention en fait... enfin j'espère que la suite vous plaira ! Voilà le chapitre 2 :
Tous les marins descendent l’échelle, incompris moi. Une fois les pieds sur terre, je ressent une drôle de sensation. C’est la première fois que je marche sur autre chose que du bois. Je me baisse et prend une poigné de cette poudre jaune. Mon père se retourne.
« -C’est du sable ! m’expliqua-t-il »
Alors c’est ça le sable ! J’en avait auparavant entendu parler, mais j’étais loin d’imaginer que ce soit si agréable à toucher. Je coure rattraper les autres –qui ont pris de l’avance pendant que j’admirais la plage- ayant hâte de voir ce qui me reste à découvrir dans cette endroit magique ! Nous avançons jusqu’à l’entrée d’une forêt. C’est là que je découvre enfin la vraie nature. Tous ces arbres à pertes de vu, ainsi que cette lumière voilée par les feuilles vivantes qui habites ces troncs, C’est si merveilleux ! Soudain, j’ai une étrange envie de me mettre à courir, à m’envoler jusqu’au ciel, et à respirer… Cette sensation de liberté m’entraina à fermer les yeux et a m’imaginée être un oiseau : battre des ails en touchant le vent, et virevoltait en traversant les nuages. Malheureusement, mon enthousiasme ne dura pas plus longtemps. Un bras me barre le passage, m’empêchant d’avancer plus, et j’entant le capitaine crier.
« -N’avançons pas plus, nous risquons de nous perdre, Ordonna-t-il ! Cette île semble beaucoup plus grande que ce que nous pensions, il vaut donc mieux retourner sur le bateau pour nous équiper et retourné l’explorer demain. »
Tout le monde fit demi-tour. J’étais très fâché contre mon père, je me sentais si bien. Déçu, je suis l’équipage.
Une fois dans ma cabine, je commence à me fabriquer un balluchon pour transporter mes affaires importantes le lendemain. Mais tous à cou, Gaspar arriva avec une épée dans les mains, une vrais, accompagner d’un fourreau et d’une ceinture ! Il me la tend.
« -Tien, tu le mérite bien, me dit-il en souriant, après toutes ces leçons d’escrime que tu as passé avec moi, tu sais enfin te défendre toute seule, tu es donc en capacité de transporter une véritable arme avec toi. »
Je suis bouche bée ! Je m’empare de l’épée. Puis, je regarde mon père comme si je le voyais pour la première fois. Il est grand, barbu avec une veste rouge, il sourit rarement et pourtant c’est ce qu’il fait en ce moment. Sa bonne humeur est contagieuse. J’enroule la ceinture autour de ma taille, j’y fixe le fourneau et j’y range ma nouvelle arme. Je le regarde encore. Puis, il part en rajoutant « prend en bien soins ». C’est là que je me rends enfin compte qu’une merveilleuse aventure m’attend sur cette île !
A suivre…
Je supose ici, Docteur who, que ca a vraiment un aire de bisounourse pour toi ! Je ferrais plus attention la prochaine fois !
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773ème
1 393 points
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En janvier 2018
Suite, j'ai rien à redire. x)
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2 278ème
817 points
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En janvier 2018
ok...
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356ème
2 278 points
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En janvier 2018
J'adoreeeeee
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652ème
1 540 points
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En janvier 2018
C'est une histoire originale ? Unique à lapino ? Parce que ça serait cool quand même.
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2 278ème
817 points
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En janvier 2018
alors... je vais faire le tour :
@DocteurWho : je suis heureuse que cette histoire te donne envie de continuer. je suis désoler pour le temp, de base c'est au présent (-par ce que c'était le plus facile et je suis nul en orthographe et que c'est mon premier livre) mais des fois je n’emballe par ce que j'ai l'habitude de lire des livre et autre au passer donc ca me fait bizarre étant donner que je m’inspire d'autres livre. Et si mon histoire est incompréhensible, tu epux me dire ce que tu ne comprend pas en mp, je suis totalement libre pour te répondre.
Saka : merci ! ;)
@artur16 : comment ca "c'est une histoire originale ?" ? Et je le publie sur Lapino come fiction, mais je le modifie aussi pour que ca rentre comme fanfiction sur le site des légendaires (BD dont je suis grande fan !)
et ba voilà, je crois que j'ai fait le tour, je vais poster le chapitre 3 maintenant !
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2 278ème
817 points
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En janvier 2018
et voilà !
chapitre 3 :
Le lendemain, lorsque je me réveille, j’entant déjà un vacarme sur le pont. Je me lève d’un bon. Puis, mon baluchon dans la main (contenant mes chaussures, ma carte du monde et une bougie avec de quoi l’allumer), et mon épée sur ma taille, je monte les escaliers. Une fois en haut, je vois la plupart de l’équipage descendre l’échelle avec des coffres sous les bras. Les autres sont soit en bas, aidant à décharger ; soit sur le bateau, aidant à donner les grosses boites. Aucun n’a l’air de s’ennuyer. Je me dirige ver mon père, pour lui demander ce qu’il se passe. Mais une fois devant lui pour lui poser la question, il ne prête pas attention à moi. Je décide donc de descendre avec les autres. Une fois en bas, je me décale un peu pour ne pas gêner l’équipage, puis, je sors mon épée de son fourneau. J’ai vraiment hâte de commencer à l’utiliser, je m’imagine déjà en train de me battre avec, en pleine action ! Je commence à la manipulait, c’est fou ce que l’effet est différent avec une véritable arme : celle-ci est plus lourde, elle a un manche plus confortable à manier, mon fleuret été très léger et tranchait un peu ma main si je la laisser glisser.
Tous à coup, j’entant du bruit dans les arbres. Je me dis que c’est surement un animal des forêts et je reprends mon occupation. Mais quelque temps après, le bruit reprit. Je devine cette fois qu’il ne peut pas appartenir à un une petite bête comme cette créature au pelage orange et à la grande queue qui grignote des noisettes dont j’ai entendue parler pendant mes cours de géographie. Curieuse, je me dirige vers le son que j’entant. Mais soudain, le silence revint, et d’un éclair je me sens transporter dans les airs par une main qui tient la mienne ! Cette main me pose subitement sur une branche. Je lève la tête. Un garçon d’environ mon âge est posée devant moi. Il a un habit marron (je crois que c’est de la peau d’animal), et des cheveux cour et châtain. Il me sourit.
« -Salut, je m’appelle Yakari ! déclara-t-il, et toi ?
-Z-Zia, je bégaye
-D’où vient-tu ? demanda-t-il ensuite, Je ne t’ai jamais vu ici.
- Notre bateau à accoster ici, lui répondais-je, nous… »
Trop tard ! Il était déjà parti à la recherche de notre navire. Je cour le rattraper, me demandant si j’avais bien fait de le lui dire.
Une fois arrivé sur la plage, je suis tout essoufflé. Je tourne la tête ver Yakari qui est debout à côté de moi. Il a la bouche grande ouverte et semble même effrayé. Je regarde ensuite la plage : les pirates sont entrain de creuser de gigantesques trous dans le sable. Je repère mon père dans la foule, et me dirige ver lui, espérant que cet fois, il va m’écouter.
« -Zia, S’exclama-t-il lorsqu’il me voit ! Où était-tu passé, je ne te voyais plus !
-Qu’est-ce que tu fais ? Je lui demande sans prêter attention à sa question.
- Quoi, ces trous ? Nous cachons nos trésors pour que personnes ne les trouve, nous sommes des pirates je te rappelle. Maintenant, répond-moi, où était tu passée ? »
Sans dire un mot de plus, je lui tourne le dos pour tous expliquer à Yakari, qui a désormais l’air d’être en colère contre moi et l’équipage.
Après lui avoir tous dit, il se calma. Rassurée, je commence à entamer une discussion avec lui :
« - Et toi, demandais-je, d’où vient tu ?
-Je vie seul ici depuis que je suis tout petit me répondit-t-il, je ne me souviens plus de mes parents et de ma famille. Et pourtant, je sais parler et me débrouiller dans la forêt. »
Je suis très étonnée par ce que vient de me dire Yakari. Vivre seul dans la nature sans savoir qui l’y à amener et depuis combien de temps, c’est vraiment étrange !
Soudain, il semble tout excité, comme si c’était le jour de son anniversaire !
« -Tu veux que je te montre ma cabane ? Me demanda-t-il, tu vas voir, elle est super, et très pratique contre les fortes pluies ! »
Sans attendre ma réponse, il me prend la main et me guide parmi les arbres jusqu’à arriver devant une sorte de maisons en bois accrocher aux arbres avec un toit en feuille. C’est la première fois que je vois une chose pareille !
« -c’est ici que je vis, Me dit-t-il fièrement ! Vient, je vais te faire visiter. »
Il m’accompagne devant une échelle que nous montons. Puis, il commence à me montrer les objets et aliments mystérieux que cache cette forêt, et aussi ce qu’il a retrouvé près de chez lui, qui semble avoir un rapport avec ses origines comme des bouts de métal, des photos de personnages, des objets –qui sont surement- de valeurs ect…
Je me demande vraiment qu’elle est la véritable identité de Yakari, et celui-ci a l’air de se poser la même question. Il me regarde. Tous à coup, je vois comme une révélation dans ses yeux, comme s’il me voyait me transformer en monstre !
A suivre…
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2 278ème
817 points
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En janvier 2018
le chapitre 4 sera là demain soir pour vous souhaitez une bonne rentrer !
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2 278ème
817 points
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En janvier 2018
chapitre 4 :
« -Quelque chose ne vas pas ? Je demande à Yakari qui me regarde l’air impressionné
-Tous-tous va bien… bégaye-t-il
-Tu est sûre ? insiste-ai-je »
Tous à coup, il se reprit.
« -Bien sûre, dit moi on ne t’a jamais dit que tu sentais un peu l’animal ? »
Je suis très étonnée par sa réaction. Je luis répond que non, toujours aussi inquiété. Puis nous nous regardons et il y eu un moment de silence.
Quelque temps plus tard, il me propose de dormir avec lui dans sa cabane. J’accepte, oubliant complétement les pirates qui doivent me cherchais. Je pose mon baluchon sur le sol, et nous allons chercher de quoi me fabriquer quelque chose pour dormir. Sur le chemin, nous discutons.
« -Et le capitaine, c’est ton père ? Commença Yakari.
-Oui, en quelque sorte, en fait il m’a adopté quand j’étais toute petites. Lui répond-ai-je. Apparemment, c’était un moment où il y avait beaucoup d’orage. Les pirates surveillaient le bateau pour ne pas qu’il se fasse abimé par le vent. Et puis tous à cou, au loin, l’un d’entre eux a aperçu un navire qui coulait. Ils se sont alors précipiter ver celui-ci, et ont remarqué un homme (surement mon père) avec un enfant dans les bras (moi) qui faisais de grands signes pour appelait au secours. L’équipage s’est approcher de ces naufragés, et leur a jeter une échelle. L’adulte qui me tenait la monta, mais juste après qu’il m’ai donné à mon nouveau père, un requin a jailli de l’eau, et l’a attrapé avant de l’engloutir et de retourné dans la mer. Ensuite, le capitaine m’a gardé, et me voilà.
- Donc tu ne connais aucun indice sur ton passé, ta famille ni même ton origine Conclut Yakari.
- Exactement.
- Regarde, il y a beaucoup de mousse sur cette pierre, ça pourrait nous servir intervient-t-il soudain. »
Nous commençons à ramasser un peu de celle-ci. Mais au lieu de penser à la fabuleuse substance que je touche, je me demande qui sont mes parents, d’où je viens, comment et pourquoi je suis arrivée dans la mer avec cette homme qui me portait…
Le matin, j’entant des voix, qui deviennent fortes, de plus en plus fortes, je plisse un peu les yeux… Et là, je comprends tous à fait ce que disent les voix, elle m’appelle. Et maintenant je devine même qu’elles viennent de Gaspar. Je me lève. Autour de moi, il y a des photos afficher sur presque tous les murs, des objets éparpillés de partout, et mon ami qui commence à se réveiller. Je descends l’échelle, le jeune garçon me rejoins. Plus loin, derrière les arbres, on peut distinguer des silhouettes.
« -Vite, partons dit Yakari en se tournant vers la cabane !
-Pourquoi ? M’étonne-ai-je, ils ne sont pas méchant.
- Je ne les aimes pas ! Hier, ils ont essayé de détruire l’île ! Tu n’as pas envie de te séparer d’eux des fois ? Je peux te faire visiter la forêt si tu veux. »
Je regarde les ombres qui m’appellent, c’était vrai. J’en avait marre qu’ils me retiennent de cette façon, je me sentais libre avec Yakari, et je voulais explorer ces terres pour m’émerveiller encore plus et tout savoir sur elles ! C’est pourquoi, j’accepte sa proposition.
Yakari m’emmène à l’autre bout de l’île, nous avons beaucoup marché pour y arrivai et avons apporter de quoi manger pendant une journée, ainsi que nos affaires de couchage (j’ai même mis mes chaussures). J’ai cependant laissée mon baluchon chez mon ami, car il m’encombrée et ne servais pas à grand-chose. Maintenant, nous sommes tous deux allongé sur le sable, admirant le soleil lumineux de l’après-midi, et reprenant notre souffle. Soudain, j’entends des bruits de pas, quelqu’un s’approche… Je me relève, Mari est debout devant moi et me fixe avec l’équipage et le capitaine derrière elle.
bonne rentrer !
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3 530ème
679 points
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En janvier 2018
Pour ma part j'ai eu un jour de plus (, je suis veinard ! ) Mais sinon c'est bien suite
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773ème
1 393 points
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En janvier 2018
Suite. 
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2 278ème
817 points
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En janvier 2018
voilà la suite pour les impatients :
ATTENTION : CHAPITRE TRÈS IMPORTANT, il est surnommée... LA REVELATION ULTIME !!!!!
Chapitre 5 :
« -Tiens… Salut ! Je déclare à Marie qui est posée devant moi »
Elle me regarde, un peu énervée. Puis elle jette un coup d’œil à Yakari, qui la fixe d’un air mauvais. Je me sens vraiment gêner, je ne sais pas quoi dire. J’aimerais tellement lui avouer que je veux rester ici, avec mon nouvel ami, et ne plus retourné avec eux sur le bateau. Mais je tiens aussi à ma famille. Si je pars pour toujours, l’équipage finira bien par me manquer : les jeux de cartes avec les matelots, mes balades sur le mat quand je joue avec la corde, les beaux paysages de la mer quand je regarde par le hublot… Je me gratte la tête. Cela m’arrive souvent, depuis que je suis toute petite, Mari a souvent vérifier si je n’avais pas de poux, et ce n’était jamais le cas (mais j’ai remarquée qu’elle ne tripotait pas beaucoup mes cheveux). Je regarde autour de moi, à ma gauche il y a L’équipage qui me dévisage, attendant que je dise quelque chose. Et à ma droite, Yakari qui défi Mari du regard, souhaitant la même chose que les autres. Je stresse, je crois que c’est la décision la plus difficile à prendre de toute ma vie. Je réfléchis, réfléchis, réfléchis encore ! Maintenant, je n’arrive même plus à réfléchir ! Il faut que je me décide, et vite ! Soudain, je ferme les yeux, je me concentre, je réalise ce qui va se passer celons le camp dans lequel je vais aller. Et après environ trente seconde, j’ouvre mes paupières. Je voie que tout le monde m’attend patiemment, et je finis par déclarer :
« -Je vais avec Yakari ! »
L’équipage baisse les yeux, déçus –surtout papa-. Yakari, lui, me sourit. Je distingue même quelques larmes, minuscules. Je me tourne ver Gaspar.
« -Tu va beaucoup me manquer papa, et tous l’équipage d’ailler ! Dit-je en lui faisant un câlin.
-Toi aussi ma petite Zia ! Répondit mon père de sa voix grave et émouvante. »
Je dis au revoir aux autres matelots. Puis, après au moins un quart d’heure passer, je déclare à Yakari que nous pouvons partir, mais celui-ci me montre le soleil qui est dirigé vers l’ouest.
« -Je crains que nous devrions monter le camp ici déclara Mari. »
Tous à coup, je me rends compte que celle-ci a toujours l’air gêner. C’est pourquoi, une fois le camp lever, je me dirige vers elle. Sans que je le sache, Yakari nous guette, cacher derrière un arbre. Gaspar fait de même, à quelque mètre de lui.
« - N’a tu pas quelque chose à me dire ? Je demande à la femme.
-Zia, il faut que je t’avoue quelque chose… »
Je voie dans le peut qu’elle vient de dire que c’est vraiment très important, je sens également que ça va presque changer ma vie, je distingue dans ses yeux qu’elle est plus inquiète que jamais. J’ai l’impression que mon cœur va exploser !
« -Tu a des oreilles… de CHAT ! »
Sur ce, elle commence à m’arracher les cheveux, mais je n’ai pas le temps de réagir que je me rends compte que ce ne sont pas mes cheveux, c’est une perruque que je porte depuis mon enfance ! Je ne comprends pas tout de suite, puis je tapote ma tête, et je sens quelque chose de velu qui y est coller, qui fait partis de mon corps, mes oreilles ! Alors ça explique tous, le grattement de tête, la malformation expliquant que j’étais une « sans oreilles », ainsi que l’odeur d’animal dont m’a parlée Yakari ! je sens des larmes me monter aux yeux, ils m’ont tous menti depuis le début, j’ai toujours était différente et c’est pour ça que Gaspar ne voulait pas que j’aille sur terre, me faire des relations ! je cour le plus loin possible de ces manipulateurs, le plus vite possible, le plus rapidement possible ! je cour sur le sable, « plus je serai loin, plus je serai libre » pense-ai-je. Je vois à peine ou je mets les pieds car le soleil se couche sur la mer, juste à côté, mais cela m’est égal, je continue à courir jusqu’à ce que je sois à bout de souffle ! Je pleure de plus en plus, pensant à tous ces moments étranges que je ne comprenais pas, dans lesquelles ils me mentaient tous ! Je ne peux plus faire confiance à personne désormais, c’est fini ! Je m’arrête soudain, je suis plus fatiguer que jamais. Le soleil est sous la mer, plus un rayon éclair le sable. Je distingue seulement un arbre contenant une branche basse. Je décide de m’y allonger, pour y passer la nuit. J’essaie de tout oublier, mais je n’y arrive pas. Je pense qu’il serait impossible de me détendre une seconde. Et pourtant, je m’endors très rapidement…
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781ème
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En janvier 2018
c trop bien !!
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2 278ème
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En janvier 2018
merci !
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781ème
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En janvier 2018
suite pour quand ?
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2 278ème
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En janvier 2018
sois aujourd'hui, sois demain ! Patience ! 
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2 278ème
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En janvier 2018
le chapitre 6 est plus cour que d'habitude est est seulement pour rajouter un peu de mystère dans l'histoire !
Il fait nuit noir, la pleine lune éclair l’ile, et je dors à point fermer, je ne me rends même pas compte de ce qui m’arrive. Effectivement, mes ongles deviennent durs, ma peau velue et mes cheveux rapetissent à tel point que je n’en ai plus. Je me lève sur mes quatre pattes, et tend mes yeux jaunes et phosphorescent ver la surface scintillante qui domine le ciel. Toujours inconsciente, je saute de l’arbre sur lequel je dormais, atterrissant toujours en équilibre. Puis, je tourne la tête dans plusieurs sens, étonner de sentir le sable sous mes griffes. Puis me dirige vers une odeur humaine. Je marche ainsi pendant plusieurs mètres ou même kilomètre, avant d’arriver devant une cabane en hauteur. J’entant un ronflement qui provient de celle-ci. Puis tous à coup, je m’allonge sous l’échelle, et je ferme de nouveau mes yeux clair et luisant, avant de me retransformer sans même me réveiller, bercer par le bruit de la respiration humaine.
et voilà !
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789ème
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En janvier 2018
Il est trop bien !!
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En janvier 2018
merci !
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2 278ème
817 points
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En janvier 2018
voilà le chapitre 7 :
Au moment où je me réveille, je me sens directement mal à l’aise, et ce n’est que lorsque je me lève que je me rends compte que j’étais allonger par terre. Je regarde autour de moi. Je suis situé en bas de la cabane de Yakari, en plein milieu de la forêt, et je ne remarque personne à l’horizon. Aurais-je fais une crise de somnambulisme ? Ou bien est-ce mon amie qui ma trainer jusqu’ici pendant mon sommeil ? Ça m’étonnerais. Je réfléchis un moment, jusqu’à ce que j’entende un bruit dans les feuillages. Je me dirige ver celui-ci. Tous à cou, un énorme félin en sort, plus rapide que l’éclair, il fonce droit devant lui, me bousculant. Je tombe par terre, puis je me frotte les fesse (sur lesquels je suis tombée) avant de me relever et de partir à sa poursuite. Je cour le plus rapidement possible, il est difficile de le rattraper à cause de sa rapidité légendaire, mais je ne le lâcherais cependant pas ! Je continue à courir de toute mes forces, heureusement, l’animal fini par ralentir, surement fatiguer lui aussi. Nous continuons ainsi jusqu’à arriver devant une gigantesque pyramide qui ressemble à celle qu’avaient les égyptiens. Toute essouffler, je m’arrête en même temps que la créature à quatre pattes, me baissant un peu à cause de mon mal de jambes, et contemplant le magnifique monument. Malheureusement, Dieu ne me laisse pas le temps de me reposer, car Yakari arrive soudain, l’air fatiguer par une course, lui aussi.
« -Zia, tu es là s’exclama-t-il !
-Yakari, où était tu passer ? est-ce que c’est toi qui m’a amenée jusqu’à ta cabane ? Comment m’a tu retrouver ? Questionne-ai-je rapidement, aussi étonner que lui.
-J’allais te poser la même question, je ne t’ai amené nulle part, et je t’expliquerais plus tard pour la retrouvaille. »
Je commence à ouvrir la bouche pour commenter sa déclaration, mais un bruit provenant de la pyramide m’interrompit. Effectivement, la grande porte de l’entrée du monument s’ouvre lentement, et en grinçant. Moi et mon ami avançons ver celle-ci, accompagner de l’animal. Soudain, Yakari se retourne ver le félin.
« -Qu’est-ce que fait cette panthère noir ici ?! S’exclama le garçon en frissonnant. Elles sont très dangereuses, Zia, il faut évitait d’en fréquenter si tu ne veux pas te faire sauter dessus, harceler ou peut-être même mourir ! »
L’animal en questions lui lança un regard noir, avec ses yeux jaunes et luisant, puis tourna la tête ver la mienne, me fixa un moment, et s’approcha pour me renifler, avant de regarder mes oreilles pendant un moment. Quelques secondes plus tard, il émit un petit rugissement, puis se dirigea ver l’entrée de la construction égyptienne, et attendit devant celle-ci. Mon amie et moi avançons ver la porte pour y entrer. Je dois effectivement avouer qu’il est difficile de résister à un tel mystère, surtout quand celui-ci a les portes grandes ouvertes pour nous laisser s’y diriger (si vous voyez ce que je veux dire). Ainsi donc, j’avance la première ver la fabuleuse construction, mais à peine suis-je rentrée que la porte se ferme, me séparant de Yakari !
« -Yakari ! Crie-ai-je
-Zia !
-Ne t’inquiète pas, je vais faire en sorte de sortir de là !
-Non, écoute Zia, la panthère t’a amené ici, ce n’est pas par le hasard, tu dois parcourir cette pyramide seule, car tu n’es pas une fille comme les autres, tu es à moitié animal, et c’est ce qui fait de toi une personne hors du commun, tu dois surement accomplir de grande chose. Alors fait confiance à ton instinct et traverse ce monument, je t’attends derrière. Bonne chance !
-bonne chance à toi aussi ! »
Ces quelques paroles m’ont tellement fait réfléchir, tellement réconfortes, que je ne peux pas m’empêcher de laisser tomber quelques larmes de mes yeux. Courageusement, j’inspire un grand coup, et je me dirige vers le fond de la salle. « Yakari m’attend à la sortis, tout va bien se passer, il ne faut pas s’inquiéter, ni pour lui, ni pour moi » m’encourage-ai-je. Je parcoure donc cette endroit mystérieux, il y a des poteaux de partout, avec des motifs et des dessins dessus un peu comme une écriture codée. Le monument est rempli de couloirs en tous sens et les pièces sont immenses. J’essaye de mémoriser les endroits où je suis passée, mais c’est très compliquer. Je voudrais faire en sorte de choisir les chemins les plus simples, mais mon instinct m’amène toujours à l’inverse. Depuis que Mari m’a révélé que j’avais des oreilles de chat, j’ai de plus en plus de réactions et de sentiment qui font de moi une « moitié animal-moitié humain ». Soudain, une gigantesque ombre m’interrompit dans mes penser. Des escaliers imposant suivis d’un trône tous aussi spectaculaire se tenaient devant moi ! Tous à coup, un rugissement se fait entendre, une silhouette à quatre pattes avec de la fourrure sur la tête surgis de l’arrière du grand siège.
*à suivre...*
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781ème
1 388 points
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En janvier 2018
Je veut savoir la suite !! Le suspens m'agace à un point ! C JUSTE TROP BIEN !!!!!
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Aujourd'hui, à 00:08
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Que vont-ils y trouver? Que va-t-il se passer? 
