L'heroine aux oreilles de chat !

Forums » Cour de récréation


chat L'heroine aux oreilles de chat !
par un inconnu en janvier 2018

Oracle
2 282ème
817 points
En janvier 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
design/quote.png
daalag Je veut savoir la suite !! Le suspens m'agace à un point ! C JUSTE TROP BIEN !!!!!

hahaha !
patience...
et merci !
Oracle
2 282ème
817 points
En janvier 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
A partir de maintenant, il y aura un chapitre chaque dimanches à partir du prochain !
Spécial fiche
2 025ème
858 points
En janvier 2018
Cool !
Spécial fiche
2 025ème
858 points
En janvier 2018
C pour demain g trop hâte !
Oracle
2 282ème
817 points
En janvier 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
et oui, c'est pour aujourd'hui ! Voilà donc, comme promis le chapitre 8 (j'ai un peu changée le genre en rajoutant un petit coté philosophique, j’espère que ça vous plaira !) :

C’est comme un rêve, je n’ai jamais parler animal, pourtant, je comprends ce que la bête vient de rugir comme si je le sais depuis toujours ! Comme si ça avait toujours était ma propre langue. Et tout aussi à l’aise, je réponds en miaulant ce que je pense. C’est extraordinaire ! J’allais sortir de ma bouche ce que je voulais dire, tout en pensant et en me concentrent sur le rugissement du félin. Et au c’est partis tout seul ! j’aval ma salive, je me concentre. Puis, enfin prête à entamer une discussion, je me mets à parler !
« -je suis ici car mon instinct m’y a menée. Je veux connaitre la vérité, je veux savoir qui est cette île, je veux savoir qui je suis moi !
-Ce n’est pas moi qui vais te donner la réponse, mais ce qui t’a mené jusqu’ici déclara la créature, qui me semblât tout à coup plus imposante !
-Alors, je ne vais pas te répondre non plus, animal inconnue, mais te poser une question qui te fera parler : qui est-tu ? déclarai-je avec plus de peur et de courage que je ne l’aurais crue !
-COMMEND OSE-TU ? Rugis la créature en se levant de toute sa hauteur d’un aire plus colérique que je ne l’ai jamais ressentis, je suis LE LIONS, je suis le roi des forêts et de la sauvagerie, je suis le dieu des insectes et des animaux morts, je suis celui qui t’a fait bête et celui qui tue les bêtes, je suis l’imposante créature qui se tient devant toi, je suis LE MAITRE de cette pyramide qui a répandue l’orgueil à tous mon royaume pour que la haine soi délivré du cœur et que la fausse peine n’existe plus !!!!!! »
Alors, moi qui me suis relevé car je me suis agenouillée, moi qui qui est froncer les sourcils alors que je les avais oubliés, moi qui suis toujours rester calme malgré les conséquences, et qui est désormais remplie de vengeance, moi je déclare
« -Tu te crois supérieur, mais en réalité, tu n’es sincèrement pas plus grand qu’un renard ; Car les renards sont futés, tout le monde le sait ! Toi, tu es grand et tu fais peur, alors que tu es plus bête qu’une bête que tu aurais mangée ! Tu ne mérites pas ce que tu es, c’est pour ça que je te parle sur ce ton ! Je me serais sans doute prosterner devant toi si ça en valait la peine, mais tu ne vaux malheureusement la peine de rien au monde, lion. »
L’animal se ramolli soudain, il fait un pas en avant et tourne la tête pour me regarder sans cligner des yeux. J’ai tout à coup du mal à croire qu’il m’a tant crié dessus il y a quelques secondes. Ses yeux me fixent d’un sentiment que je n’arrive pas à deviner. Nous restons ainsi un moment de silence jusqu’à ce qu’il détourne le regarde pour se tourner vers son trône. Il ne s’y assit pas comme je l’aurais supposé, mais se dirige derrière afin de soulever un étrange levier et ouvrir une gigantesque porte au fond de la pyramide.
« -Habituellement, je ne laisse pas repartir ceux qui entre dans mon monument. Mais toi, qui est différente par ton langage humain, mais qui n’as pas réagi comme je l’aurais cru, toi qui n’as pas parler pour ta propre race mais pour la mienne. Toi, je vais te laisser une chance de redonner la raison aux hommes qui se croient si supérieurs, qui ne sont fait que d’orgueil et non de peine, tous comme j’ai voulu te le faire croire ! Parviens à nous aider, et nous t’aiderons en retour !
-Lion, je ne suis d’aucun camp, je vais repenser à ce que vous venez de me dire, mais je ne vous garantis rien d’autre ! je vous remercie de me laisser m’en aller et de réfléchir à ma déclaration. »
Sur ce, je pars en direction de la grande porte avec hâte de tous raconter à Yakari. Mais dès que je la franchis, l’animal à fourrure m’interrompt.
« -Si cela ne te dérange pas, j’aimerais savoir quelle est ton nom avant de faire nos adieux !
-Je me nomme Zia, et au revoir ! »
Après 5 pas, je fais de mon mieux pour ne pas me retourné. J’entant un grincement derrière moi, signe que la sortis se ferme. Je suis libre ! Je voie Yakari courir ver moi au loin. Je suis heureuse d’être sortis de ce qui m’a semblé être un rêve ! le plus étonnant, c’est que j’ai tout de suite changé ma façon de parler et même de penser quand j’étais dans la pyramide. Je me demande pourqu…
« -Zia ! Enfin, tu es de retour m’interrompt mon amie en me sautant dessus ! Alors ? Raconte-moi tous ! Comment ça c’est passer ? »
Il est si exister que j’en oublie toutes mes questions ! Nous nous asseyons sur un tronc et je lui explique tous, sans n’oublié aucuns indices ! Ensuite, après un peu de chasse dans la forêt, nous nous endormons sans nous douter une seul seconde de ce qui va arriver lorsque nous nous réveillerons…

à suivre...
daalag
782ème
1 388 points
En janvier 2018
daalag niveau/9 experience 565 facteur
Elle est trop bien, je veut la suite !!
Spécial fiche
2 025ème
858 points
En janvier 2018
design/quote.png
daalag Elle est trop bien, je veut la suite !!

C ce que j'allais dire
non classé
En janvier 2018
un inconnu niveau/ experience
Suite j'aime trop !
Oracle
2 282ème
817 points
En février 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
merci beaucoup pour tous vos compliments !
Je posterais le chapitre 9 cette après midi, ver 17h !
Oracle
2 282ème
817 points
En février 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
Chapitre 9 :
Le bateau bascule vers la droite ! Non, vers la gauche ! L’eau salée inonde le pont et me fait boire la tasse ! je me sens bousculé en tous sens ! j’arrive enfin me mettre debout et à me diriger en direction du mat pour m’y accroché. Soudain, je repense à celui-ci, deux jours au paravents ! Lorsque cette lumière bleue forgé de petites étoiles s’était formé au bout de la grande perche ! Et qu’une vision m’ai apparus ! Une vision dans laquelle il y avait un chat... Un chat avec une cape… Une cape rouge… Et tous à coup, celle-ci s’ait mise à scintiller, et le félin miaulai d’une voix grave qui se propager comme un écho ! Des plumes étaient apparues de nulle part, et soudain… Soudain je me suis réveiller, et au loin une tempête approchait ! Alors nous avons commencé les préparatifs sans nous rendre compte de ce qui aller arriver ! Ce qui arrive à ce moment même ! Je me sens secoué. Secoué ! Le bateau va-t-il chavirer ? Il me secoue encore ! sans s’arrêter, je suis secoué… Secoué…Secoué&helli p;Secoué…
Mais… Je suis réellement secoué ! Et pas sur un bateau, et pas debout ! Je suis allongée sur un support en métal ! En métal ? j’ouvre les yeux. Une cage ! Je suis dans une cage ! Comment suis-je arrivée là ? Où est Yakari ? Je me lève en sursaut !
« -Ouch ! »
Je me cogne contre la grille, je n’ai pas pris le temps de l’examiner, effectivement. Celle-ci est si petite que je ne peux pas me placer debout. Je me sens mal à l’aise et très serrer. Il est difficile de ne pas se cogner contre les rebords à tous moments. Je jette alors un coup d’œil derrière les barreaux. Il y a un champ, des arbres et je distingue également une clairière avec un chemin et des fruits sur le côté. Je devine alors que je suis sur une charrette. J’entant un bruit régulier devant, je me demande vivement ce que c’est. Soudain, je me rends compte que je suis bien loin d’être seul ! Il y a plein, d’autres cages qui m’entoures contenant pour certaine quelques animaux et dans l’une d’elle…
« -Yakari ! »
Je suis étonné qu’il ne me réponde pas. Soudain, je me rends compte qu’il dort. Je ronronne, déçu. Je me dis alors que ce n’est pas le moment de perdre son temps, mais plutôt de trouver la raison pour laquelle je suis ici ! Et surtout où je suis ! Mon cerveau se met à tourne à toute allure ! Le paysage n’a aucun rapport avec celui de l’île et on voie bien qu’il y a beaucoup plus de vie. Y aurait-il un endroit cacher ? C’est vrai que je n’ai pas tout explorer. Dans ce cas, pourquoi Yakari ne m’as-t-il pas prévenue ? A moins que nous soyons sur une autre terre ! Ceux qui nous ont amener ici aurait traverser la mer. Mais d’ailleurs, qui nous a amener ici ?
J’ai continué de me poser des questions et d’y répondre par plusieurs théories ainsi jusqu’à ce que mon amie se réveille. Je ne suis certainement pas la plus douée pour ce genre de chose. Yakari est mieux placé pour ça. C’est pourquoi je suis très contente qu’il soit enfin là pour m’aider. Et à ma grande surprise, il se réveille en sursaut.
« -Où suis-je ? qu’est ce qui est arriver ? Où est Zia ? S’exclame-t-il.
-Je suis ici, ne t’inquiète pas le rassure-ai-je. Nous avons été transporter, c’est tous ce que je sais. J’ai bien réfléchis, mais je n’ai pas trouvé d’autres indices permettant de savoir qu’est-ce que veulent ce qui nous ont capturé ni qui ils sont, ni où nous sommes exactement ni…
-C’est bon, j’ai compris, tu veux que je cherche, c’est ça ? »
Je baisse la tête.
« -Bien commence le garçon en levant le nez ver les barreaux, je suppose que nous sommes prisonniers vu le confort dont on nous a fait part. Et apparemment, ceux qui nous ont capturé en on surtouts après les animaux poursuit -il en fixant les autres cages. »
Il s’interrompe. Me fixe d’un air inquiet, puis continue.
« -tu a raison, nous ne sommes plus sur l’île, enfin pas dans un endroit que je connais. Mais celui-ci est plus Urbain, donc ça m’étonnerais fortement que nous y soyons. »
Il se retourna en direction de la mer, la fixa, puis se retourna en constatent.
« -Oui, j’ai bien raison, nous ne sommes plus dans mon lieux d’origine. Voilà ce que je pense : D’autres humains sont venus explorer nos terres et y ont attraper des annimaux. Puis ils nous ont vues et… »
Il hésita.
« -Et en remarquant tes oreilles ils ont dû se dire que tu es un spécimen très rare d’animal et te prendre pour…
-pour ?
-Pour… Il ne vaut mieux pas que tu le sache, je connais les hommes, nous ne sommes pas en sécurité ici, il faut s’enfuir au plus vite pour ne pas risquer d’être… Il faut s’enfuir ! »
Mais à peine avait-il parler qu’une ombre s’approche de nous, une ombre grande, humaine avec d’une main une hache et de l’autre des clefs. Cette ombre n’est autre que…
Oracle
2 282ème
817 points
En février 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
le premier paragraphe est censée être en italique, et à la fin de celui-ci, je changer la police, c'est pour ça qu'il y a des lettres bizarre.
Oracle
2 282ème
817 points
En février 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
comme je ne serais pas là à partir d'aujourd'hui jusqu'au 13 février, je poste le chapitre en avance !
J’ouvre lentement les yeux. Je sens de plus en plus cette douleur sur ma tête. Toujours à moitié endormis, je la tapote. J’ai effectivement une petite bosse.
« -Tiens, regarde, ta copine se réveille ! »
Mais ça va faire combien de fois que je me réveille emprisonner ! j’en ai marre à la fin ! Je commence à plisser les yeux, et j’aperçois la silhouette floue de Yakari à côté d’un autre homme et encore plusieurs derrières eux. Je reconnais vite l’ombre du grand costaud avec la hache qui posé à coté de mon amie. Je devine également que c’est grâce à celle-ci qu’il m’a assommée et endormis. Je fais de mon mieux pour ne pas faire de geste brusque, au cas où il ait peur et me tape à nouveau. Je me lève donc délicatement. Ici, au moins, il y a de l’espace pour bouger.
« -Elle n’a pas l’aire ne forme, j’ai dû taper un peu trop fort. Il nous la faux vive pour… Il vaut mieux qu’elle soit vivante !
-… »
Je reconnais vite la voix de Yakari lorsqu’il émeri ce murmure. Une fois mes yeux vraiment habituer à la lumière, je me rends compte que je suis attaché aux main, derrière mon dos. En revanche, mon amie est totalement libre de ses gestes et ne semble pas avoir peur, mais son visage dévoile une expression gêner. Les autres êtres de cette pièce n’ont pas l’aire de se soucier de quoi que ce soit et me fixe tous, curieux.
« -B-bonjours bégaye-ai-je »
Ils continuent de me fixer, attends, comme s’ils s’apprêtent à ce que je continue en un discours compliqué sans m’arrêter qui répondrait à toutes les questions de la vie !
« -Que-qu’est-ce que vous me voulaient ! »
Pas un mot.
« -Bon eu… Vous allez rester comme ça à me regarder encore longtemps ou vous allez réagir ? je fini par déclarer. Hého ! Je suis là ! »
J’agite les bras.
« -Zia… Je… Commence Yakari en regardant en bas. »
Mais Le grand homme à côté de lui l’interrompit pour lui chuchoter quelque chose à l’oreille en faisant de gestes, me désignant parfois. Au bout d’un moment, il me fit signe de le suivre et c’est ce que je fais avec prudence, cependant. En passant près de mon amie, je lui lance un regard interrogatoire, mais il garde son aire gêner et se gratte la tête. Une fois arrivée dans une grande salle à quelque pas de l’ancienne, le costaud m’adresse enfin la parole.
« -Alors, qui est tu ? Explique-moi tous me demande-t-il d’une aire posée.
-Et pourquoi devrais-je vous faire confiance ? Je réponds du tac-au-tac. »
Le grand homme s’avance. Me fixe au plus profond de mes yeux. Je fais rapidement de même, regardant mon reflet dans ses pupilles, je me concentre du mieux que je peux.
« -Par ce que je suis le père de ton jeune amie Yakari ! déclara-t-il clairement en articulant et choisissant ses mots. »
Je laisse échapper un petit crie de surprise et me fige en le dévisageant plus étonnée que jamais ! « Lui ! Non, ce n’est pas possible ! Il a dit ça exprès pour que je lui révèle mon histoire, mais ça ne marchera pas ! »
« -je vais tous t’expliquer et te justifier si tu fais de même avec ton origine !
-Jamais ! Crie-ai-je en me levant d’un bon ! »
« C’est du chantage, ne te laisse pas avoir ! » je m’encourage.
« -C’est pourtant un marchée équitable ! et puis de toute façon, mon fils finira bien par tous me révéler ! »
« Non, il ne ferait jamais ça ! » Je repense à son sourire qu’il m’a fait lors de notre première rencontre, et à son aire si impuissante qu’il a eue il y a quelques minutes ! alors, c’est vrai, Yakari est l’enfant de ce monstre ! mais il ne peut pas le rejoindre ! Il ne peut pas torturer les animaux comme lui ! Il est né avec eux, il ne peut pas faire ça ! les larmes me montent aux yeux, je grelotte presque en y repensant !
« -J’ai hâte de voire de quoi il est capable ! Continue-t-il comme s’il lit dans mes pensées.
-Laissez tomber, Yakari ne vous suivra JAMAIS ! Il n’est pas un monstre comme vous ! Vous n’arriverais JAMAIS à le convaincre ! Et moi non plus d’ailleurs, JAMAIS vous m’entendez ??!!!!
-Tu est sur ? »
Je baisse la tête. Cela fait à peine deux semaines que j’ai rencontré Yakari. J’ai l’impression que je sais tous sur lui, mais deux semaine, c’est vraiment trop peu pour connaitre quelqu’un ! En fait, je viens juste de me rendre compte que je lui ai fait confiance au premier regard, je ne sais pas expliquer cette sensation ! J’ai l’impression d’être déjà trahi ! « Non, c’est cette homme qui m’embrouille le cerveau, ne te laisse pas faire, ne te laisse pas faire !!! » c’est pourquoi je me tiens droite et imposante afin de déclarer
« -Je n’accepte et je n’accepterais jamais votre proposition, pour l’instant, tous ce que je vous demande, c’est de parler à votre fils ! »
Il émit un petit ricanement.
« -Comme tu voudras ! »

à suivre...
Spécial fiche
2 025ème
858 points
En février 2018
J'aime trop j'attends la suite avec impatience !
Oracle
2 282ème
817 points
En février 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
design/quote.png
Spécial fiche J'aime trop j'attends la suite avec impatience !

cool, la suite sera posté demain ! (je ne serais pas là dimanche)
Oracle
2 282ème
817 points
En février 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
finalement, après demande de spéciale fiche, le chapitre 11 est posté en avance !
bonne lecture !

Et me voilà, dans une pièce, les mains attachées et je n’essaie même pas de me libérer, pourtant, j’ai encore mon épée accroché autour de ma ceinture, et je ne me pose même pas la question du pourquoi est-ce que l’on me l’a laissé. Placé sur une chaise, je dévisage mon amie qui est assis à côté de moi. Il n’a pas d’épée, mais il n’a pas de corde pour lui attacher les mains, il n’a rien autant de façon négatif que positif ! A part un père…
« -Zia… Je… Suis désoler soupire-t-il.
-Tu ferais ça ? Tu rejoindrais ton père pour torturer les animaux ? Pour me torturer moi ?
-Je ne veux pas te torturer ! S’empresse-t-il de répondre. Je veux seulement passer un peu plus de temps avec lui, même s’il n’est pas comme je l’imaginais… »
Je me rends soudain compte que nous sommes tous les deux orphelins, et c’est comme ça que je réussi à comprendre sa réaction. Moi aussi, depuis toute petite, je m’imagine mes parents à mon image. Il n’y avait qu’un homme sur le bateau qui a coulé d’après Gaspar, ma mère me cherche peut-être quelque part ! C’est ce que je me suis toujours dit. Mais si ça se trouve, elle est comme le père de Yakari, odieuse et méchante ! Mon ventre se sert à cette idée, je préfère ne pas y réfléchir. Le jeune homme continue.
« -Ecoute, ce n’est pas si méchant, a vrais dire, nous on chasse…
-C’est pour survivre, par ce qu’on n’a pas le choix ! Et puis tous les animaux chasses ! Ton père tente de t’entrainer dans une salle de torture ou l’on récupère la fourrure et où l’on transforme les animaux en boites de métal ! je l’ai bien vue !!!! l’interrompt-ai-je.
-Je… cela fait tellement longtemps que je le cherche… je ne suis peut-être pas fait pour vivre sur une île déserte à inventer des machines qui ne servent à rien, si ça se trouve, je dois apprendre à être comme mon père… comme un homme… C’est peut-être dans ma nature.
-Non ! il t’embrouille le cerveau ! ne l’écoute pas ! Tu es Yakari ! celui qui m’a souri dès le premier regard, celui qui m’a aidée à savoir qui je suis, celui qui m’a soutenue et qui m’a encouragé ! celui avec qui je me suis endormis tant de fois en rêvant de la mer lointaine et du soleil couchant ! Tu ne peux pas changer comme ça par ce que ton « père » te le dit ! Tu es un homme libre et unique ! Ce n’est pas à un autre de décider de ton destin ! De ton être ! Tu es qui tu veux et tes décisions sont les tiennes !! Tu m’entant ?!! »
Je me rends alors compte qu’il a les larmes aux yeux, et qu’il m’arrive ensuite la même chose. Alors j’ouvre les bras pour le laisser se jeter dedans, puis je lui tapote le dos pour le rassurer.
« -Ca va aller… »

Après un petit moment d’émotion, il me lâche et nous nous regardons. Mon reflet dans ses yeux me fait vite deviner ce qu’il a dans la tête. Alors, je me tourne afin qu’il s’empare de mon épée et me libère d’un cou brusque. Puis, sans attendre une seconde de plus, nous partons en courant ver la porte. Soudain, je m’arrête, me rendant compte qu’il n’avance plus. Il a l’aire gêner en fixant ce bout de papier accompagnée d’un stylo. Alors je m’approche, prend celui-ci, et le lui tend en sourient.
« -Je sais que c’est difficile, alors va y ! Libère tes émotions, je sûr qu’il comprendra.
-Merci, soupire-t-il ! »
Tandis que je réfléchis à un moyen d’évasion, mon amie se met à écrire, et, après long moment, il pose son outil, soupire et déclare
« -C’est bon, je suis près !
-Bravo Yakari, je pense que ce n’est pas très évident. Bon, je propose d’enfoncer la porte et de partir en courant, qu’est-ce que t’en dit ? »
Il me regarde en plissant les yeux, puis met sa main sur son front. Je me mets à rigoler.
« -Tu n’a même pas réfléchis n’est-ce pas ?
-T’a une autre solution peut-être ? Je riposte, l’aire vexer.
-On pourrait… Demander gentiment à mon père de nous laisser partir suggère-t-il. »
Nous nous regardons, décidément, aucun d’entre nous n’a de bonnes proposition. Soudain, mon aime sursaute et déclare.
« -On a cas sortir par la fenêtre !
-Mais elle est trop haute, c’est impossible ! Je fais valoir.
-sauf si on utilise un outil ! justifie-t-il en observant autour de lui. Une corde, par exemple. »
Nous nous mettons alors à la recherche d’un objet, et finissons par ne trouver que plusieurs barres de bois avec une scie, des clous et d’autres matériels de bricolages dans un coin de la salle, qui, selon Yakari nous serais utiles. Même si je trouve qu’une corde serais bien plus pratique.
« -Mais si, on pourrait se fabriquer quelque chose, démontre-t-il. En fixant les bouts par exemple, si on a un peu d’imagination, on saurait monter… un... eu une…
-Ou alors on fait du saut à la perche pour atterrie sur la fenêtre ! je propose »
Il fait la grimace en regardant par terre, ce que je considère comme un non. Puis, après un instant de réflexion il finit par trouver une idée.
« -On a cas construire une échelle ! je suis sûr qu’on peut y arriver ! Il nous faudra juste un peu de temps, mais ça devrait marcher ! De toute façon, c’est juste pour monter, pas besoins de s’appliquer et d’être précis ! Elle ne sera pas très grande de toute façon, c’est parfait !
-C’est super ! Très bonne idée ! Mettons-nous au travail tous de suite ! »
Ainsi, armé d’un tournevis, de clou et d’une scie nous commençons à bricoler. Pendant que j’assemble deux barres en bois, je me rends compte que si ces objets sont là, c’est forcément que mes ennemis l’utilisent, ce qui voudrait dire qu’ils sont aussi des sortes de forgerons, mais quelle est leurs véritables métiers ? Que font-t-ils réellement ? Et surtout, que me voulaient-ils en me torturant ? m’empailler et me mettre dans un musée, Ce serais trop cruelle ! Mon amie a surement les réponses à tout ça, mais je n’ose pas lui demander. Je continue donc à viser sans réfléchir plus.
Quelque temps plus tard, nous finissons notre travail et décidons de tester notre création. Juste à ce moment-là, j’entends la voix du père de Yakari qui explique que le temps est écoulé et que nous devons sortir prendre notre décision. Evidemment, elle était déjà prise et nous nous pressons à partir sans le lui faire part. Des pas s’approches tandis que mon amie monte l’échelle avec prudence.
« -Dépêche-toi si tu ne veux pas finir enfermer dans ta chambre et me manger en purée ce soir. Je lui chuchote. »
Je plaisante dans ma déclaration, mais c’est vrais. Une fois en haut, mon le jeune homme m’aide à me blottir contre le rebord de la fenêtre juste au moment où notre poursuivant ouvre la porte. Il ne mit pas longtemps à se rendre compte de ce que nous sommes en train de faire et coure ver nous en criant
« -Non, arrêtez ! Vous ne pouvez pas faire ça !! REVENEZ ICI TOUT DE SUITE !!! »
Il se presse à monter l’échelle, mais tombe vite à la renverse à cause de son poids qui a détruit notre construction. « Tous ce mal donner pour rien » je me dis avant de me rendre compte que c’est totalement faux. Je n’ai pas le temps de commenter car mon amie me tire par le bras, m’entrainant à courir loin d’ici pendant que son père émet un crie sourd, il s’est surement fait très mal mais il a encore le courage de nous menacer.
« -JE ME VENGERAIS ! AÏÏÏÏÏÏ&Iu ml;ÏÏÏ ! »
Même sans voire son visage, je devine vite que Yakari pleure. Je me sens impuissante de ne pas pouvoirs l’aider. Au bout d’un bon moment, nous nous arrêtons pour reprendre du souffle, puis nous installer dans un coin et nous endormir. Cette nuit fut peuplée de cauchemar, pour Yakari plus que pour moi. Et une fois que je suis totalement plongée dans mon sommeille, celui-ci pleure de toute ses larmes, se serrant contre ses genoux, n’arrivant presque pas à dormir de la nuit après une journée si perturbée.

à suivre...
Spécial fiche
2 025ème
858 points
En février 2018
C'est trop bien 💖
Juste comment elle fait pour le prendre dans ce bras si elle a les mains attachés lol :))
Merci de m'avoir posté en avance pour moi ! 🥰
Oracle
2 282ème
817 points
En février 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
design/quote.png
Spécial fiche C'est trop bien 💖
Juste comment elle fait pour le prendre dans ce bras si elle a les mains attachés lol :))
Merci de m'avoir posté en avance pour moi ! 🥰

a oué, mince j'avais pas penser à ce faut raccord ! je vais modifier ça tous de suite , merci !!
et de rien !
Oracle
2 282ème
817 points
En février 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
Je me rends alors compte qu’il a les larmes aux yeux, et qu’il m’arrive ensuite la même chose. Alors je m’avance en bougeant la chaise du mieux que je peux, pour le laisser se jeter sur mon tors, puis nous restons là, l’un contre l’autre.

ça va comme ça ?
Spécial fiche
2 025ème
858 points
En février 2018
design/quote.png
Oracle Je me rends alors compte qu’il a les larmes aux yeux, et qu’il m’arrive ensuite la même chose. Alors je m’avance en bougeant la chaise du mieux que je peux, pour le laisser se jeter sur mon tors, puis nous restons là, l’un contre l’autre.

ça va comme ça ?

Oui c'est parfait 😂
Camille R.
815ème
1 354 points
En février 2018
Suite ?
Oracle
2 282ème
817 points
En février 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
désoler, j'ai eu un petit oublie hier... Suite tous de suite !

chapitre 12 :

Lorsque je me réveille, je commence par m’angoisser en sentent le sol dur sous mon dos. N’ayant pas l’habitude, je pense me retrouver encore une fois dans une cage. Heureusement, je me rends compte que ce n’est pas le cas en ouvrant les yeux, et découvrant Yakari, encore endormis sur mon épaule. Je me lève en posant délicatement sa tête sur le sol pour ne pas le réveiller, puis j’observe les environs, ce que nous n’avons pas eu le temps de faire hier. C’est une ville, une grande ville bordée par la mer avec un air obscur qui y rode, elle me fait frissonner. Personne n’est dehors et il fait encore sombre. J’hésite à aller explorer les environs, je n’ai pas envie d’abandonner Yakari (et de partir seul, je l’avoue). Mais je prends mon courage à deux mains et décide de partir et d’être de retour avant le lever du soleil. Et c’est ainsi que je marche le long de la rue, toujours sur mes gardes. Soudain, je me fais interrompre par une ombre grande et vague qui me bouche le passage et qui s’impose devant moi comme pour me provoquer. Perdue dans mes pensées, je ne me rends pas tous de suite compte de sa présence. Mais dès lors que je lui rentre dedans et que je lève la tête, il me fait frissonné.
« -Désoler ! Je dis en m’écartant du passage pour poursuivre mon chemin. »
Pas un mot. Je ne me retourne pas et avance d’un pas presser dans son dos. Une fois à bonne distance de lui, je souffle, rassurer qu’il ne m’a pas suivi. Mais grelotte encore en repensant à ce mystérieux personnage, je n’espère ne jamais avoir à le rencontrer de nouveau ! Je continue mon exploration et retiens le genre de bâtiments qu’on peut trouver dans cette vaste ville. Ainsi que mon orientation pour ne pas me perdre. Je remarque beaucoup de boutiques fermées avec des horaires tardives et rares dans lesquelles des objets de survies ou de réparations sont vendues, d’immeubles de logements et surtout, des bars ! je me dis que les conditions de vie des habitants ne doivent pas être faciles ici ! Tout en continuant mon exploration, je réfléchis à ce qui peut bien encore nous arriver, Yakari et moi, à l’avenir, la suite de nos aventures, et surtout, la fin ! Je me demande même s’il y aura une fin ! Il nous reste encore tellement de chose à découvrir ! Tout à coup, il grincement de porte m’interrompt dans mes pensées. Quelqu’un sort de sa maison ! je cour me cacher derrière un mur afin de l’espionner sans être remarquée. C’est une femme mal habillée, avec une coque sur le bras. Elle monte l’échelle de sa maison, et le place sur le toit. Puis, une fois qu’elle fut redescendue, celui-ci se mit à hurler et à chanter de son cri strident « Cocorico ! Cocorico ! ». Juste à ce moment-là, je me rends compte que le soleil à commencer à se lever et me hâte donc à rejoindre Yakari. Mais pendant que je marche tranquillement dans les rues de la ville, je remarque une, deux et maintenant trois ou dix lumières s’allumer dans les maisons. Et une fois que la plupart d’entre elles ont pris vie, l’animale à plume que l’on entend partout arrête de chanter. Soulagée, je ralentis. Mais pas pour longtemps. Effectivement, je viens de me rendre compte que puisque le bruit a réveiller tout le monde, Yakari doit y être compris ! S’il s’est levé, il a dû se demander où je suis ! Par peur qu’il parte à ma recherche, je me mets à courir, et je suis encore plus inquiète lorsque je voie plus en plus de personne sortir dans les rues et les magasins s’ouvrir petit à petit. Je fais de mon mieux pour passer invisible mais c’est difficile et je ne suis pas sûr d’avoir été des plus discrète et d’être passée inaperçue aux yeux de certains. Heureusement, j’arrive rapidement à destination et trouve mon amie juste au moment où il part en courant. Je le rattrape rapidement et le fait sursauter.
« -Zia ! Qu’est-ce que tu fais là ?! Je me suis fait une peur bleue !!! Il s’exclame.
-Arrête de parler comme un papa à sa fillefille et dit moi que personne ne t’a remarqué lors de ton réveille !
-Non, personne, où était-tu ?
-J’ai explorer les environs, et les habitants ne m’ont pas l’aire d’être des plus sympathiques. Cependant, nous devrions bien adresser la parole à l’un d’entre eux pour poursuivre notre chemin.
-Oui, mais on ne sait même pas où aller ! Il fait remarqué. »
Je baisse les yeux, c’est vrai, mais j’ai l’impression qu’il nous reste encore tellement de chose à parcourir ! On ne peut pas s’arrêter là, surtout que le père de Yakari finira bien par nous retrouver si nous restons coincer ici. En fait, mieux vaut prendre le risque de parler aux habitants plutôt que ne rien faire, car dans ce cas, sois nous ne faisons rien, sois nous avançons, alors pourquoi pas. Et c’est ce que j’explique au jeune garçon qui hoche ensuite la tête, il est d’accord. C’est ainsi que, quelques minutes plus tard, nous nous retrouvons face à face avec le bar le plus proche afin d’avoir des informations. Dès que nous poussons la porte, tous les regards sont posés sur moi. Ils me fixent tous de leurs yeux ronds comme des soucoupes. « Oups, mes oreilles, j’avais totalement oublié ! ». Je ne sais pas comment réagir, j’ai l’impression que le moindre mauvais geste pourrait causée quelque chose de très grave. J’ouvre donc la bouche pour expliquer et calmée ces gens, mais à peine ai-je prononcer une lettre que Yakari m’interrompt pour partir dans un discours qui semble bien marchée. Les personnes se détendes vites, sauf certaines qui sembles ressentir encore plus de mépris. Après quelques minutes, je prends à mon tour la parole.
« -Nous avons besoins de votre aide, nous ne savons presque rien du monde extérieur et avons besoin d’information… »
Je m’interromps en me rendant compte qu’ils ne m’écoutent plus, chacun chuchote à son voisin, me jetant parfois des coup d’œil perplexe. Je parviens à entendre quelques mots comme « prophétie… Tu es sur ?... Mal… » et d’autres. Yakari fait de son mieux pour les calmer, mais il n’y parvient pas jusqu’à ce qu’un vielle homme avec une longue barbe blanche lève les bras et nous demande de nous suivre. Nous obéissons, et ceux qui nous regardaient si perplexes font de même. C’est ainsi que je me balade, suivant je ne sais pourquoi un vieillard inconnu avec tout une troupe d’homme derrière moi. Je me rends alors compte qu’il n’y a aucune femme parmi ces gens. Cela me met mal à l’aise. Je me tourne ver Yakari qui ne m’a pas adressé un mot depuis que le mystérieux personnage nous a demandé de le suivre et il n’arrête pas de fixer depuis ce moment. Celui-ci me donne des frissons. Je suis tellement perturbée par mes penser que cela me fait sursauter lorsqu’il se met enfin à parler.
« -Nous sommes arriver à destination ! »
La « destination » c’est un grand objet caché par un rideau en tissu placée dessus. Il est juste au bord de la mer, je devine vite que cette chose doit être le plus éloigner possible de la ville, ce qui signifie qu’il a surement une influence négative sur les habitants. Justement, ceux-ci se précipite pour tirer le rideau et délivrer ce qui se cache en dessous. Ce n’est pas un objet gigantesque et majestueux comme on pourrait l’imaginer, mais simplement une cape, une cape de la taille d’un homme mais avec double protection de verre qui l’entoure ainsi qu’un livre devant les vitrines. Je suis très étonnée de savoir une telle richesse posséder pare habitants par rapport aux conditions si pauvre de la ville. Je m’approche pour en savoir plus, mais à peine ai-je fais un pas que je ne sens plus mes jambes, je n’ai pas le temps de crier ni de réagir que je suis déjà allongée sur le sol, inconsciente et Yakari qui courent me rattraper en prononçant mon nom !

à suivre...
Camille R.
815ème
1 354 points
En février 2018
C juste trop bien ! Le seul petit bémol c que ce n'est mas assez aéré essaie de sauter des lignes c plus agréables à lire 🙂
Oracle
2 282ème
817 points
En février 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
design/quote.png
Camille R. C juste trop bien ! Le seul petit bémol c que ce n'est mas assez aéré essaie de sauter des lignes c plus agréables à lire 🙂

d'accord, je vais le faire la prochaine fois
Oracle
2 282ème
817 points
En mars 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
chapitre 13 :

* Le soleil se lève… il y a un oiseau… Un oiseau argenté par le reflet de la lumière matinale… Et des plumes… Des plumes qui tombes par millier et seulement une qui touche le sol… Une plume rose et scintillante… Un chat… Un chat passe, la touche…. Et elle explose en une cape… Une cape rouge… Une cape grande… Très grande… Une cape avec une plume gravée en son centre… Une plume qui s’envole à nouveau… Une plume qui s’accroche à un pantalon, à une chaussure… Et qui reste coincée sur un t-shirt… Un t-shirt... Une cape... Une plume… Une cape… Une plume… Une cape… Une pl…*

« -Je vous dit que c’est elle, la prophétie dit que ce sera celle qui s’évanouira lorsqu’elle sentira le signe !
-Mais quelle prophétie, qu’est-ce que c’est que cette histoire ?!
-Attendez… Je crois qu’elle se réveille ! »

J‘ouvre lentement les paupières, encore sous le choc. J’ai l’impressions qu’un moment infinie et extrêmement rapide à la fois viens de se dérouler. J’ai l’impressions d’être passée dans une autre dimensions, un peu comme si je venais de mourir et que je suis ressuscitée. Je me lève délicatement en touchant mon front, ma tête tourne encore un peu. Lorsque je la relève, tous les yeux sont rivés sur moi. Je parviens à me tenir droite et à articuler.

« -Que… Qu’est ce qui s’est passée ?...
-Tu t’es évanouis en t’approchant de cette cape me répond Yakari.
-Exactement comme dans la prophétie ajoute le vielle homme en criant derrière lui !
-Que… Quoi ?
-Laisse tombée, il dit n’importe quoi ! M’affirme mon ami tandis que qu’un habitant met sa main sur la bouche de la personne âgée qui gigote en insistant des phrases incompréhensibles. Interrogeons plutôt les habitants. »

Et c’est ce que nous nous apprêtons à faire. Sauf que nous n’en avons pas besoins puisque toute la population se jette sur nous pour tous nous expliquer ainsi que pour nous bombarder de questions. Nous essayons de les calmer sans résultats, alors nous tentons de répondre à leurs questions mêmes si certaines sont bizarre tout en récupérant des informations. Informations que j’aurais préféré ne pas connaitre étant donnée qu’elles me font posées encore plus de questions. Effectivement, ces personnes racontent que cette cape est arrivée ici il y a des millénaires et que, depuis ce jour, le mal s’est répandu dans toute la ville, rendant les habitants malheureux et pauvres. Mais avec cet objet mystérieux trouvée au bord de la mer, il y avait un livre avec une prophétie écrite qui indiquait qu’un élu pourra mettre fin à tout ça et qu’il ait impossible de l’arrêter autrement et bla-bla-bla et bla-bla-bla. Une fois que tout le monde est calmé et qu’ils ont arrêtés de poser des questions, Yakari prend la parole.

« -Tout ce que vous dite n’est pas très crédible…
-Et le fait que j’ai des oreilles de chats, c’est crédible peut-être ?! »

Il baisse la tête, ce n’est surement pas ce qu’il voulait faire comprendre. Moi aussi, j’aimerais avoir plus d’information. Heureusement, le vieux monsieur qui s’est libérer de main du costaud prend la parole afin de nous convaincre.

« -Vous n’avez qu’à lire la prophétie vous-même ! Dit-il en se déplaçant ver le gros livre ouvert et en nous le pointant sous le nez. »

Je commence à la lire avec hâte.

*Lorsque la mer grondera comme le tonnerre,
La cape viendra à vous comme le vent.
Lorsque le mal sera répandu sur la vie,
La cape s’en ira comme le bien.
Ce grâce à celle avec le chat et la plumes,
Ce grâce à celle qui s’évanouira lorsqu’elle sentira le signe.
Attendaient l’Elu et vous trouverais le bonheur,
Attendaient l’Oracle et vous trouverais vos réponses.*

Ce texte me laisse perplexe. Il justifie tous ce qu’a dit les habitants, mais je ne comprends pas la dernière phrase.

« -Qui est l’Oracle ? Je demande alors.
-Peut importer, faite votre truc pour nous libérer ! Répond le vielle homme.
-Mais comment je peux savoir ce que je dois faire, moi ?!
-Avance toi… Et sens le signe… »

Je me déplace donc ver la vitrine en grognant. Les habitants sont tous posées derrière moi, et attendent impatiemment, sans rien dire. Je remarque qu’il y a plus de personnes que lorsque je suis arrivée. Peu importe, je n’ai cas leur faire un petit numéro, et puis j’en serais débarrassée ! Une fois devant l’objet qui semble beaucoup plus imposant désormais, je souffle et fait semblant de me concentrer. Sauf que je ne peux pas m’empêcher de réellement me concentrer, tant mieux car, comme ça, les autres y croirons plus. Je commence à jouer la comédie : Je lève les bras en l’air et fait semblant d’entendre des paroles que seule moi peut comprendre en répétant quelques mots dont je me souviens dans la prophétie tout en me demandant quand est ce que tous cela sera fini. Ça a l’aire de marcher, les habitants sembles perplexe et ne me quitte pas des yeux.

Soudain, à ma grande surprise, je sens comme un picotement sur ma joue, une chatouille, puis la même matière touche ma jambe. Une matière douce, lisse, un peu comme… Une plume ! Une plume, puis plusieurs… Un oiseau ! Mais comment cela se fait-t-il que je ne le vois pas, je me tourne ver mon épaule que l’animale imaginaire tripote. Et là, je le vois - si on peut le dire, car ce n’est pas le genre d’être que l’on rencontre au quotidien. Effectivement, je le distingue par des lueurs de flammes qui on la forme d’un volatil. Lorsque j’essaye de le toucher, mes mains lui passe à travers mais je sens tout-de-même les plumes me frôler. Il est impressionnant ! Il ne semble pas se soucier de moi et a l’aire de me faire confiance. Je pourrais passer encore longtemps à l’observer, mais je suis interrompue par un bruit sourd provenant de la vitrine. La cape ! La cape bouge et vole en se cognant contre le verre ! Elle essaye de se libérer ! Je m’en approche, suivis de l’oiseau.

« -Je propose de la libérer je déclare aux autres en touchant la vitre.
-Tu est folle s’exclame le vieux, elle va nous hanter encore plus !
- "La cape s’en ira comme le bien", "Attendaient l’Elu et vous trouverais le bonheur", tous cela ne justifie pas ma décision ? Si vous ne prenez pas le risque, vous n’y arriverais jamais ! J’insiste en oubliant complétement l’idée de faire de la comédie. Le phénix m’a prouvé que cette histoire est vraie et je souhaite désormais aider tous ces gens.
-Bien, comme tu voudras soupire l’homme en ouvrant soigneusement la cage, pas très convaincue. »

Tous les regards sont alors fixés sur l’objet qui s’approche lentement de moi, reste immobile, et se précipite brusquement sur moi pour m’envelopper d’un nuage de sable et de poussière et se retrouver scotcher à mon cou ! Au départ, elle m’étrangle, mais, à ma grande surprise, elle s’étire à la dimension exacte de mon cou. Je n’ai même pas le temps de m’exclamer que quelque chose de tout aussi extraordinaire se produit : mon phénix s’envole, décris des cercles dans les aires, puis se laisse tombée jusqu’à moi afin de s’évaporer dans la cape à la vitesse de la lumière ! Mais ce n’est pas fini, celle-ci émet soudainement une lumière qui nous éblouis tous, puis reste gravée d’une plume qui scintille une fois, puis se montre invisible.
Je soupire.

Enfin, je me tourne vers les habitants, la plupart ne me regarde plus, mais ce n’est pas par ce qu’ils n’ont pas été impressionner, mais par ce que les bâtiments sont envelopper de poussières scintillantes, les rues aussi, et toute la ville ! Lorsque tous se dissipe, celle-ci ressort luisante sous le soleil et beaucoup moins pauvre.

« -L’ELU A REUSSI ! L’ELU A REUSSI ! Crient les habitants. »

Tous courent ver leurs maisons pour admirer le changement, puis on me fournit une tunique et d’autres vêtements pour me remercier, une fois enfiler, je remarque que trois plumes de phénix rayonnent sur l’habit de mon torse, je me rends alors compte de ce que cela signifie, et je souris.

voilà ! J'espère que ce sera asse espacer pour toi, Camille.R !

Naïry
45ème
5 930 points
En mars 2018
Naïry niveau/12 experience 1655 facteur
tu peux en faire un tout petit peu plus court stp 😆 je m'y perd
Oracle
2 282ème
817 points
En mars 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
design/quote.png
Naïry tu peux en faire un tout petit peu plus court stp 😆 je m'y perd

comment ça ?
Naïry
45ème
5 930 points
En mars 2018
Naïry niveau/12 experience 1655 facteur
Des chapitres moins long ><
Cerise noire
3 508ème
681 points
En mars 2018
J'adore le style d'écriture et j'accroche à l'histoire 🙂 mais le dernier chapitre est un peu long, suite 👍
Oracle
2 282ème
817 points
En mars 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
je suis désoler, c’est la taille d'un chapitre... Il y a effectivement des chapitre plus long que d'autre, je ne peut rien y faire, désoler.
Cerise noire, merci.
Oracle
2 282ème
817 points
En mars 2018
Oracle niveau/5 experience 340 facteur
chapitre 14 :

Je me balade tranquillement dans cette ville qui me semble encore plus vaste depuis que je porte ma cape. Une vraie ville. Je n’en ai pas vu depuis… Je n’en ai jamais vu ! Je ne savais même pas à quoi ça ressembler lorsque je suis arrivée ici. Toutes ces maisons à pertes de vues et ces rues tracées par de la pierre avec toutes sortes de charrettes qui y circule, c’est si différent de ce que j’ai l’habitude de voir ! Quelles découvertes est-ce-que je vais encore faire au cour de mes prochaines aventures ?!

« -Zia ! »

Yakari coure ver moi avec enthousiasme, son sac à dos à la main. Depuis que nous avons sauvé les habitants, ils nous ont recueillis chez eux et ont même organisé une fête en notre honneur. Nous pouvons également nous déplacer librement et faire nos courses dans la ville à condition que je les aide s’il arrive quelque chose de grave. C’est pourquoi, chaque semaine, Yakari vas faire les courses tandis que je vais vérifier si tous se passe bien dans la ville. Le reste du temps, je me trouve une occupation qui m’amuse ou bien une activité pour me divertir avec Yakari. Et chaque soir, seul, je m’assois sur la plage et observe le coucher de soleil sur la mer scintillante. Elle me manque. La mer me manque. L’océan me manque. La navigation mon manque. Les pirates me manquent… J’ai passé tant de temps à admirer l’eau qui s’étend jusqu’à l’horizon que je ne supporte pas l’idée de ne plus jamais y retourner. Cela fait plus d’un mois que nous sommes ici et je ne suis jamais retournée sur un simple navire.

« -Tu ne devinera jamais la nouvelle ! S’exclame mon ami tout exister !
-Quoi ? Qui-a-il ?!
-Un… Un… Bateau… J’ai rencontré… Un vendeur de bateaux ! Répond-t-il tout essouffler. »
Que veut-t-il dire par là ? Il veut partir ?! S’en aller de cette île gigantesque par la mer ? Est possible ? Les habitants nous y autoriseraient ? Je n’ai pas le temps de lui poser la question qu’il me prend par le bras et m’emmène avec lui à travers les rues. Nous zigzaguons dans la ville comme si nous connaissons l’endroit par cœur. Et, enfin arriver à destination, j’oublie toutes mes questions et me laisse éblouir par ces voiliers à pertes de vues ! Ils sont tous différents, que ce soit la forme des voiles, la taille des navires ou bien le type de bois. Mais ils sont tous là pour la même raison : toucher l’océan et naviguer dessus avec la plus grande liberté que l’on n’ait jamais connue !

C’est plus fort que moi, je m’approche, je monte sur l’un d’entre eux, grimpe le mat, et caresse la voile en avançant lentement. Tant de souvenir me reviennent d’un cou. Mais un en particulier, c’était lors de mon dernier jour avant de toucher pour la première fois la terre ferme, il y a environ deux mois : Je viens de finir ma leçon d’escrime et, comme j’ai du temps libre, j’en profite pour monter le mat pour respirer un peu d’air frais ! Je prends l’une des cordes qui pend près de la grande barre, puis je me laisse balancer dessus, je prends de l’élan et fonce en m’accrochant du mieux que je peux à l’épaisse ficelle. Puis, avec toute la vigueur de mon corps, je la lâche et me laisse tombé par terre avec une arriver au sol héroïque !
« -Zia, mais qu’est-ce que tu fais ! me crie mon père ! »
Non, il ne m’a pas dit ça… Il m’a dit…
« -Qu’est ce qui t’a pris de faire une chose pareille ! »
Je reprends mes esprits et me rends compte que mes pensées se sont réalisées. Une corde bouge encore jusqu’au-dessus de ma tête, j’ai une sensation de pression et une légère douleur sous mes pieds, et le marchand très en colère est tenus debout devant moi. Je devine vite que c’est lui qui s’est énerver tout à l’heure alors que j’ai confondue ses paroles avec celles de mon père.

« -Et bien ! Il te plait ce bateau ! s’agace-t-il
-Désoler...
-Vient Zia, on va regarder les autres stands, me suggère Yakari. »

Et, sans attendre ma réponse, il m’entraine à travers le marcher. C’est là que je me rends compte que c’en est un. J’étais tellement absorber par les navires que je ne me suis même pas rendue compte du lieu et des personnes qui nous entoure. Je n’ai jamais vue cet endroit au paravent. Si, je l’ai vue… Mais pas de cette façon. Je repère alors une affiche qui répond à toute mes questions. Dessus il est marqué qu’un marché et organiser une fois par ans pendant 3 semaine, durant lequel les habitants peuvent vendre ce qu’ils veulent.

« -Je me demande comment il a fait pour se procurer tous ces bateaux. Remarque mon amie alors que nous nous remettons à marcher. Il n’a quand même pas pu les garder tous le temps chez lui (surtout qu’ils ne passeraient surement pas, ou alors ils prendraient toute la place de l’habitation) pour tenter de les vendre une fois par ans.
-C’est vrai que c’est étonnant… Mais bon, ne nous préoccupons pas de ça. Pourquoi voulait-tu me montrer ce stand, tu sais très bien que nous ne serons jamais autorisé à partir. »
Il a l’aire gêné par mon questionnement. Mais me répond tous de même.
« -Je voulait simplement te montrer les bateaux, je sais à quel point tu tiens à la mer et je me suis dit que ça te ferais plaisir, rien de plus ! Explique-t-il. »

Je comprends vite qu’il ment mais je ne riposte pas. Nous continuons de visiter la grande place et apprenons beaucoup de choses sur le monde extérieur en découvrant des objets inconnus. Yakari, qui est un inventeur et bricoleur expérimenter discute beaucoup avec un certain Jules, qui tient un stand d’ingénieur dans lequel il expose ses créations. Ils ont l’air de bien s’entendre et reste ensemble un bon moment jusqu’à ce que l’’un de ses collègues vienne lui rendre visite à son tour. Alors le jeune garçon prend l’adresse de Jule dans la ville et nous partons tous deux pour voir ce qui nous attend par la suite. J’ai pris des notes pendant que les « spécialistes » partageaient leurs connaissances, et il faut dire que, même si je n’ai pas tous compris, j’en ai appris beaucoup. Toutes ces sensations qui me donne envie de voire de l’extérieur m’incite à partir d’ici et vivre de nouvelles aventure plus sensationnel les unes que les autres. Celles-ci me manques. Je comprends soudain ce que pensait Yakari en me montrant ces navires. Mes intuitions étaient juste, j’en suis certaine maintenant : Il veut partir ! Et je suis bien décider à le suivre.

fin !

petite actus triste : Je suis vraiment désoler, mais à partir de maintenant, je vais devoir poster un chapitre tout les deux semaines seulement, encore désoler...
Aujourd'hui, à 09:41
Publicité 1
scroll-top