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 Last letter before leaving.
par Mehr en avril 2016
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929ème
1 258 points
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En avril 2016
Hello les gens !
Voici, ma nouvelle fiction intitulée « Last letter before leaving ». Pour ceux qui ne savent pas ce que ça veut dire, c'est « La dernière lettre avant de partir ». J'ai déjà écris 6 chapitres, ce qui me donne une raison de plus à la continuer, à l'avenir.
Bref, voilà le premier chapitre et j'espère que vous l'aimeriez.
~
I
Je m'en rappelle, encore, de lui. Ses cheveux en bataille. Ses yeux brillants. Son sourire éclatant. Je m'en rappelle de tout. La manière dont il me parlait. Son petit accent anglais. Sa façon de plonger son regard dans le mien, comme s'il n'y avait que lui et moi. Ça aussi, je m'en rappelle.
La première fois, qu'on s'était rencontré, il pleuvait des cordes. Une minute, il y avait le soleil et à la minute suivante, toute la ville de Londres était inondée. J'étais perdue. Tout le monde se bousculait, et essayait de rentrer chez eux, le plus vite possible. Et il y avait moi, qui ne savais rien. Si les organisateurs avaient annulé la visite au Birmingham Palace, si les autres étaient rentrés à l’hôtel. De plus, j'avais oublié mon téléphone, dans ma chambre.
« C'est ce qui arrive, quand on a la tête dans la lune. »
Je pensais, un peu trop, au garçon que j'avais vu avec M. Cooper. Il était probablement son fils, vu combien ils se ressemblaient. Les mêmes yeux verts, le même style de marcher.
De toute façon, il était beaucoup trop beau pour quelqu'un comme moi. Avec mes cheveux frisés et mes lunettes que je devais rajuster toutes les deux minutes, je n'étais qu'une des personnes les plus simples du monde entier. On pouvait difficilement faire attention à moi, et à peine m'accorder un regard.
Quoi qu'il arrive, ce n'était pas lui qui allait m'aider à me retrouver dans cette ville géante, maintenant, et il fallait que je fasse quelque chose. L'endroit où le car m'attendait, était à 20 minutes de marche et je ne pouvais pas non plus prendre un bus qui venait toutes les 30 minutes. J'avais quelques pièces dans ma poche et j'aperçus un cabinet téléphonique, au loin. Je me précipitai.
Tant bien que mal, j'entrais dedans et m'empressais de composer le numéro de mon professeur. Je tombais sur la messagerie : il ne manquait plus que ça ! Je ressayais, sans succès. Quand, soudain, la porte s'ouvrit à toute volée et quelqu'un pénétra à l'intérieur. Dégoulinant de pluie, la personne en question murmura tout bas, haletant :
- « Je peux me cacher, ici ? S'il te plaît … Le temps qu'ils partent.
Je regardais dehors, et en effet, des officiers en uniforme avaient l'air de chercher quelque chose. D'instinct, je me mis devant lui, essayant de le cacher alors qu'il s'était assis par terre. Il avait enroulé ses bras autour de sa tête, qu'il avait enfouie entre ses jambes.
- T'as volé quelque chose ?, demandai-je, curieuse.
- Hein ? Ah … non. C'est juste qu'ils ont un problème avec moi., répondit le garçon, en se relevant.
Il avait une vraie allure de sauvage. Ses cheveux blonds partaient n'importe où, ses yeux gris étaient pleins de violence et de … tristesse. Comme s'ils cherchaient quelque chose, quelqu'un. Comme s'ils n'étaient pas en paix. Comme s'ils ne s'étaient pas fermés depuis des jours. Tellement captivants et repoussants, à la fois.
- Pourquoi ?
- Tu dois bien avoir une idée, non ? C'est évident, pourtant. »
Sur ce, il partit.
C'était notre première rencontre. Je ne connaissais ni son prénom, ni autre chose. C'était un parfait inconnu. Toutefois, il venait de marquer ma vie et me faire sourire dans cette tempête qui se formait dehors.
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630ème
1 568 points
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En avril 2016
Suite !
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770ème
1 395 points
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En avril 2016
Suite !
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1 012ème
1 201 points
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En avril 2016
Suite! 
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1 534ème
970 points
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En avril 2016
Suite. J'aime beaucoup.
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929ème
1 258 points
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En avril 2016
Merci beaucoup, Apo' (je peux t'appeler, ainsi?)
Je posterais la suite, demain, en espérant qu'il y aurait d'autres commentaires.
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397ème
1 443 points
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En avril 2016
C'est génial ! Continue comme ça et tu auras encore plus de succès ! Je suis très pressé de lire la suite !! 
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2 203ème
829 points
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En avril 2016
J'aime beaucoup ! Des fictions originales comme celle ci c'est attirant ♥.♥
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1 534ème
970 points
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En avril 2016
Oui, bien sur. :)
J'attends la suite avec impatience.
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1 024ème
1 195 points
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En avril 2016
Bon... Une suite, rapide et immédiate serait la bienvenue! mdr
Dépêches-toi please! mdr
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416ème
2 032 points
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En avril 2016
J'aime beaucoup ! Juste, quelques petites choses : Je m'en rappelle, encore, de lui. Ses cheveux en bataille. Ses yeux brillants. Son sourire éclatant. Je m'en rappelle de tout. ... >>
Le : Je m'en rappelle de tout. >> N'est pas très français ... Je pense que ce serait mieux :
Je m'en rappelle encore, de lui. Ses cheveux en batailles. Ses yeux brillantes. Son sourire éclatant. Je me rappelle de tout. >>
Et : Ses yeux brillantes. >>
Euh, c'est pas plutôt : Ses yeux brillants. >>
Voilà ! Aussi : Quoi qu'il arrive, ce n'était pas lui qui allait m'aider à me retrouver dans cette ville géante, maintenant, et il fallait que je fasse quelque chose.
Je pense que ce serait mieux : Quoi qu'il arrive, ce n'était pas lui qui allait m'aider à me retrouver, maintenant. Il fallait absolument que je fasse quelque chose.
Voilà ! Quelques petits conseils, si je peux me permettre
Met un peu plus de langage soutenue, et, fais un peu plus attention aux ponctuations.
Merci !
PS : Si tu as besoin d'une correctrice, tu peux me demander !
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2 203ème
829 points
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En avril 2016
Allochoco.
J'aime beaucoup ! Juste, quelques petites choses : Je m'en rappelle, encore, de lui. Ses cheveux en bataille. Ses yeux brillants. Son sourire éclatant. Je m'en rappelle de tout. ... >>
Le : Je m'en rappelle de tout. >> N'est pas très français ... Je pense que ce serait mieux :
Je m'en rappelle encore, de lui. Ses cheveux en batailles. Ses yeux brillantes. Son sourire éclatant. Je me rappelle de tout. >>
Et : Ses yeux brillantes. >>
Euh, c'est pas plutôt : Ses yeux brillants. >>
Voilà ! Aussi : Quoi qu'il arrive, ce n'était pas lui qui allait m'aider à me retrouver dans cette ville géante, maintenant, et il fallait que je fasse quelque chose.
Je pense que ce serait mieux : Quoi qu'il arrive, ce n'était pas lui qui allait m'aider à me retrouver, maintenant. Il fallait absolument que je fasse quelque chose.
Voilà ! Quelques petits conseils, si je peux me permettre
Met un peu plus de langage soutenue, et, fais un peu plus attention aux ponctuations.
Merci !
PS : Si tu as besoin d'une correctrice, tu peux me demander !
Soutenu*
Ah ! Ah x)
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929ème
1 258 points
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En avril 2016
Allochoco.
J'aime beaucoup ! Juste, quelques petites choses : Je m'en rappelle, encore, de lui. Ses cheveux en bataille. Ses yeux brillants. Son sourire éclatant. Je m'en rappelle de tout. ... >>
Le : Je m'en rappelle de tout. >> N'est pas très français ... Je pense que ce serait mieux :
Je m'en rappelle encore, de lui. Ses cheveux en batailles. Ses yeux brillantes. Son sourire éclatant. Je me rappelle de tout. >>
Et : Ses yeux brillantes. >>
Euh, c'est pas plutôt : Ses yeux brillants. >>
Voilà ! Aussi : Quoi qu'il arrive, ce n'était pas lui qui allait m'aider à me retrouver dans cette ville géante, maintenant, et il fallait que je fasse quelque chose.
Je pense que ce serait mieux : Quoi qu'il arrive, ce n'était pas lui qui allait m'aider à me retrouver, maintenant. Il fallait absolument que je fasse quelque chose.
Voilà ! Quelques petits conseils, si je peux me permettre
Met un peu plus de langage soutenue, et, fais un peu plus attention aux ponctuations.
Merci !
PS : Si tu as besoin d'une correctrice, tu peux me demander !
D'abord, merci beaucoup pour ces conseils :)
Ensuite, tu dis que " yeux brillantes ", ça ne se dit pas. Mais, c'est toi qui m'as corrigé comme ça. Moi, j'ai bien écris " yeux brillants " sans " e ", à la fin ... x)
Merci pour la proposition mais je compte me débrouiller toute seule pour les fautes d'orthographes
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929ème
1 258 points
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En avril 2016
Sinon, si vous voulez que je vous annonce la sortie du nouveau chapitre par Mp', dites le moi :D
Je posterais la suite, aujourd'hui à 18h.
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770ème
1 395 points
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En avril 2016
Mehr
Sinon, si vous voulez que je vous annonce la sortie du nouveau chapitre par Mp', dites le moi :D
Je posterais la suite, aujourd'hui à 18h.
J'aimerais bien que tu me préviennes :)).
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929ème
1 258 points
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En avril 2016
Pas d'problème, Crumble :)
D'ailleurs, allochoco " ses cheveux en batailles " ce n'est pas sans " s "?
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1 534ème
970 points
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En avril 2016
(Je me permets de répondre à sa place) Oui, c'est sans "s" normalement.
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929ème
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En avril 2016
C'est bien ce que je pensais 
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841ème
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En avril 2016
Suite ! Jaime trop
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929ème
1 258 points
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En avril 2016
Myra se prononce " Mira " et non " Maira ".
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II
Je vais commencer par le commencement.
Je suis Myra. Je suis la personne la plus normale et la plus simple qu'il vous arrivera à rencontrer. Je suis quelque part au plein milieu d'un chemin, entre la beauté et la mocheté. J'en doute que je puisse continuer mon voyage en devenant plus belle. C'est une sacrée malédiction, à vrai dire. On ne me fait jamais de compliments et jamais – au grand jamais – un garçon m'a accordé un seul regard. On ne me dit rien sur mon physique. C'est comme si j'existais, mais sans mon visage. Ce n'est rien, pourtant ça me blesse.
J'ai un teint pâle, presque translucide. Mes cheveux frisés et mes lunettes me donnent un air plutôt « intello ». Disons, que j'en suis une avec mes 20 sur 20 que j'obtiens presque tout le temps. Mais, est-ce une mauvaise chose ?
Ni grosse, ni maigre, ni grande, ni petite, je suis à mi-chemin partout que ce soit niveau taille, ou niveau épaisseur.
Mes parents ont un physique convenable, ainsi que celui de ma sœur. Je me demande bien, de qui je tiens mon apparence. Peut-être un parent éloigné.
Quand, je l'ai rencontré, j'avais 17 ans. Un âge innocent, paraît-il. Où on ne peut pas faire grande différence entre le bien et le mal. Un voyage avait été organisé par le lycée, et c'était à Londres qu'on allait, avec ma classe. Le dernier jour, on avait prévu de visiter le Birmingham Palace. Sauf, que par un tour de destin, j'avais atterri dans un cabinet téléphonique, en sa compagnie. Malgré la brève conversation qu'on avait eue, il m'avait captivé. Je le trouvais tellement intéressant, que ça en devenait absurde. Comment quelqu'un qui était recherché par la police, pouvait être intéressant ? À moins qu'il ait de très bonnes histoires à raconter sur sa vie de voleur.
Après cette rencontre, je rentrai à l’hôtel et constatai avec surprise qu'on n'avait même pas remarqué mon absence.
« Cool. »
Tout le monde s'affairait autour de moi. Il y en avait qui bouclaient leur valise, d'autres qui venaient juste de commencer à rassembler leurs affaires.
Moi, j'étais triste. Non pas, parce que je m'y plaisais ici mais parce que j'avais eu l'impression que tout venait de commencer. Que j'avais peut-être une chance d'être aimée. J'avais besoin de le revoir.
Quand, il m'avait regardé, j'avais ressenti quelque chose que je n'avais jamais éprouvé, auparavant.
Un ressentiment d'importance.
Pouvais-je être importante, après tout ?
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770ème
1 395 points
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En avril 2016
Suite.
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1 534ème
970 points
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En avril 2016
Tu aurais pu remplacer "mocheté " par "laideur" parce que ça fait un peu familier, mais c'est la seule faute que j'ai vu.
Suite.
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195ème
3 179 points
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En avril 2016
Trop cooooool (tant pis je ne suis pas première du tout x) )
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762ème
1 406 points
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En avril 2016
Suite !!!
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4 473ème
608 points
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En mai 2016
Oh c'est bien !
: )
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630ème
1 568 points
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En mai 2016
Suiiiiiiiiiiiiiiite ! Je veux bien que tu me préviennes ^^
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929ème
1 258 points
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En mai 2016
Merci pour la correction, Apo'
Pas d'problème, Mimi'
Haha Calypso n'a pas pu faire son premier commentaire 
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2 195ème
830 points
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En mai 2016
Suite ! Trop bien ! Merci de m'avoir prévenu
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397ème
1 443 points
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En mai 2016
Mehr
Merci pour la correction, Apo'
Pas d'problème, Mimi'
Haha Calypso n'a pas pu faire son premier commentaire
C'est une sacrée malédiction, à vrai dire. Tu peux le remplacer par
à vrai dire, c'est une sacrée malédiction. Ou alors, ne pets pas de virgule. Sinon, c'est super cool ! Continue comme ça, je suis très pressé de lire la suite.
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929ème
1 258 points
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En mai 2016
III
De retour en France, tout était rentré dans l'ordre.
Le matin, je me levais et allais à l'école. Je rentrais, faisais mes devoirs et me rendormais. Cette routine se répéta en boucle, pendant 4 ans.
À mes 21 ans, je restais toujours cette pauvre Myra-qui-porte-des-lunettes. Je ne savais pas me maquiller, ni me coiffer. Je ne faisais que des nattes.
Sauf, que j'allais bientôt déménager. En espérant que ça allait apporter quelques changements en moi. Les chances étaient peu, mais présentes.
En fait, cet espoir se reposait sur quelque chose qui me tenait vraiment au cœur. Je retournais dans cette ville, où j'avais réalisé que je pouvais être importante mais il suffisait de trouver la bonne personne.
Oui, je retournais à Londres.
Je ne saurais jamais expliquer ce que je ressentais. C'était un mélange de joie, de tristesse, d'espoir, d'excitement. Un vrai tourbillon de sentiments.
Peut-être espérais-je le rencontrer, ce qui était presque impossible.
Quoi qu'il arrive, j'étais toute prête à prendre l'avion et commencer ma nouvelle vie et mon premier métier. Je débutais ma vie professionnelle par mon premier amour, les livres. J'étais embauchée dans une bibliothèque, au plein cœur de Londres.
Une fois arrivée, la première chose que je fis, c'est de chercher ce cabinet téléphonique où je l'avais rencontré. Je ne le trouvais nulle part. Pourtant, je m'en rappelais parfaitement de son emplacement. Et ce que je voyais, c'était une terre nue à la place.
J'étais affolée. Avais-je rêvé de cette rencontre ? Non, impossible !
Je sentais encore ces gouttes de pluie, contre ma peau. Pouvaient-elles être fausses ? Tant de questions, et aucune réponse.
Je vis une femme accompagnée de deux enfants et lui demandai si elle en savait quelque chose.
- « Non, désolée. Je n'ai jamais vu quelconque cabinet téléphonique, dans les alentours. Veuillez m'excuser..., s'empressa-t-elle de dire, alors que le petit garçon se mettait à pleurer.
Pourquoi me faire subir, cela ? Je commençai à pleurer à mon tour, tout à coup. Je ne savais pas où aller, comme si j'étais venue ici juste pour le chercher. Pour chercher quelqu'un que je connaissais à peine.
J'essuyais vite fait mes larmes et me mis en route.
Tandis que je montais les marches de mon appartement, je vis un couple s'embrasser dans le couloir. D'une façon tellement vulgaire, que je priais qu'ils arrêtent de produire ces bruits dégoûtants, le temps que je parte.
Mais, comme par hasard, c'est à ce moment qu'ils se séparèrent.
Et comme par hasard, je reconnus le garçon.
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Aujourd'hui, à 07:08
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