Au pays d’il était une fois

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élili123
chat Au pays d’il était une fois
par compte supprimé en juillet 2020

élili123
465ème
1 638 points
En juillet 2020
compte supprimé niveau/8 experience 605 facteur
Prologues :

C’était un mardi matin sombre et pluvieux, comme tous les autres du mois. Rien de spécial pour cette nouvelle journée au coeur du petit village de Saint-Clinclin des Meumeu, là où Léa, une jeune fille de 13 ans, vivait en tant qu’enfant unique avec son père. Sa mère avait succombé au cancer quelques années plus tôt et Léa faisait les quatre volontés de son père pour ne pas se faire punir. Comme chaque jour, elle se leva à quatre heures du matin, au chant du coq, pour aller travailler dans les champs. À midi moins quart, elle devait rentrer et préparer à dîner pour son père, le lui servir, manger les restes et retourner au champ travailler. Le soir, elle rentrait très tard et allait directement se coucher. Mais ce qu’elle découvrit ce soir-là, à l’intérieur de sa chambre, allait changer sa vie à tout jamais!



La crique
860ème
1 164 points
En juillet 2020
compte supprimé niveau/7 experience 520 facteur
Suite ^^
J'aime le début :d, je ne sais pas ce que tu nous réserve pour la suite... 👍
élili123
465ème
1 638 points
En juillet 2020
compte supprimé niveau/8 experience 605 facteur
design/quote.png
La crique Suite ^^
J'aime le début :d, je ne sais pas ce que tu nous réserve pour la suite... 👍

Merci 😂
élili123
465ème
1 638 points
En juillet 2020
compte supprimé niveau/8 experience 605 facteur
Chapitre 1 :

Ce n’était, en fait, qu’un tout petit anneau délicat fait d’argent avec des gravures semblables à de minuscules étoiles. Puisque Léa avait des mains plutôt fines et étroites, l’anneau lui faisait à merveille dans l’annulaire. Il avait été déposé sur son édredon, à l’intérieur d’un petit coffret d’une couleur qui lui rappelait la mer. À la vue de ce bijou, un souvenir d’elle et de sa mère lui revint. Ce jour-là, elle et sa mère avaient eu leur dernière discussion ensembles :

<< - Léa, je doit te dire quelque chose de très important que tu n’en devra pas oublier.

- Oui maman, que veux-tu me dire ?

- Tu sais que je suis très malade et que je risque de mourir bientôt.

- Pas besoin de me le rappeler...

- Oui, je suis vraiment désolé ma chérie. Mais sache que je serai toujours en train de veiller sur toi.

- J’espère, car je n’en veux pas vivre seule avec papa !

- Bon donc ce que je voulais te dire est qu’il y as un endroit où tu pourras aller quand tu en auras vraiment besoin. Un endroit où il y aura plein de monde pour t’accueillir et.... *hcuuu *hcuuu

- MAMAN !!!! Maman, respire! Ça va bien aller j’appelle le 911 !

Elle n’avait pas eu le temps de spécifié comment s’y rendre avant de quitter prématurément ce monde, mais Léa sut qu’elle devait s’y rendre. Certaine que l’anneau allait la guider là où elle voulait se rendre, elle se coucha en se disant qu’elle trouverait cet endroit le lendemain matin, soulagée de ne plus devoir être la bonne de son père, mais tourmentée de ce sombre souvenir.
Chinchidoux
110ème
4 428 points
En juillet 2020
J'ai lu le prologue et le chapitre 1 !
Je n'ai pas vraiment de remarque, c'est très bien décrit, l'histoire ne va pas trop vite côté action c'est agréable à lire. Côté fautes je suis pas experte en la matière mais je trouve qu'elles sont minimes, je suis certaine que si tu te relis tu les trouveras facilement !

Attention: prologues -> prologue
Midi moins quart -> midi moins le quart

O:)

Bon... SUITE !!
chenipoteun
215ème
3 018 points
En juillet 2020
Coucou, avant toute chose, comme l'a dit Joke, il y a très peu de fautes d'orthographes et celles qui restent ne dérangent pas la lecture. :d


Comme tu n'as pas encore écrit beaucoup, je n'ai pas beaucoup de choses à dire ahah, mais voici quelques petits points améliorables selon moi :

Dans la deuxième partie du prologue, j'ai l'impression qu'il y a un problème de temps. Enfin, ce que tu as écrit n'est pas faux mais ça sonne assez bizarrement. Je pense qu'il serait plus cohérent de mettre cette phrase : "Comme chaque jour, elle se leva à quatre heures du matin, au chant du coq, pour aller travailler dans les champs." à l'imparfait, en changeant donc le début ("Tous les jours elle se levait ..." ) puisqu'il s'agit ici d'une habitude, c'est quelque chose qu'elle répète chaque jour. L'imparfait est plus adapté.

Le début de chapitre est un peu brut. Tu aurais pu rajouter une petite phrase d'introduction avant je pense. Par exemple, tu aurais pu faire la description de la chambre de Léa et de la découverte de l'anneau.

"l’anneau lui faisait à merveille dans l’annulaire." => cette phrase n'est pas correcte.

"À la vue de ce bijou, un souvenir d’elle et de sa mère lui revint. Ce jour-là, elle et sa mère avaient eu leur dernière discussion ensembles" => attention à la répétition, remplace par "elles" (+ attention au S à ensemble, il n'en faut pas).

Mets des verbes de paroles dans ton dialogue, ça le rendra plus vivant ! Et pense à fermer les guillemets à la fin. D'ailleurs, on ne mets pas de tiret à la première prise de parole si on mets des guillemets. ;)

Dernier paragraphe, attention à la répétition de "se rendre", cherche des synonymes.


Sinon, c'est bien, c'est plutôt agréable à lire comme texte et l'histoire à l'air prenante. J'ai hâte de voir ce que tu vas faire pour la suite ! 👍
élili123
465ème
1 638 points
En juillet 2020
compte supprimé niveau/8 experience 605 facteur
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chenipoteun Coucou, avant toute chose, comme l'a dit Joke, il y a très peu de fautes d'orthographes et celles qui restent ne dérangent pas la lecture. :d


Comme tu n'as pas encore écrit beaucoup, je n'ai pas beaucoup de choses à dire ahah, mais voici quelques petits points améliorables selon moi :

Dans la deuxième partie du prologue, j'ai l'impression qu'il y a un problème de temps. Enfin, ce que tu as écrit n'est pas faux mais ça sonne assez bizarrement. Je pense qu'il serait plus cohérent de mettre cette phrase : "Comme chaque jour, elle se leva à quatre heures du matin, au chant du coq, pour aller travailler dans les champs." à l'imparfait, en changeant donc le début ("Tous les jours elle se levait ..." ) puisqu'il s'agit ici d'une habitude, c'est quelque chose qu'elle répète chaque jour. L'imparfait est plus adapté.

Le début de chapitre est un peu brut. Tu aurais pu rajouter une petite phrase d'introduction avant je pense. Par exemple, tu aurais pu faire la description de la chambre de Léa et de la découverte de l'anneau.

"l’anneau lui faisait à merveille dans l’annulaire." => cette phrase n'est pas correcte.

"À la vue de ce bijou, un souvenir d’elle et de sa mère lui revint. Ce jour-là, elle et sa mère avaient eu leur dernière discussion ensembles" => attention à la répétition, remplace par "elles" (+ attention au S à ensemble, il n'en faut pas).

Mets des verbes de paroles dans ton dialogue, ça le rendra plus vivant ! Et pense à fermer les guillemets à la fin. D'ailleurs, on ne mets pas de tiret à la première prise de parole si on mets des guillemets. ;)

Dernier paragraphe, attention à la répétition de "se rendre", cherche des synonymes.


Sinon, c'est bien, c'est plutôt agréable à lire comme texte et l'histoire à l'air prenante. J'ai hâte de voir ce que tu vas faire pour la suite ! 👍

Merci beaucoup 😊! Pour les guillemets je m’en suis rendu compte mais on peut pas le changer. La perfectionniste en moi bouille de rage 😂 et sinon pour les répétitions j’essayerai de faire plus attention :p

Je ferai la suite très bientôt!
Chinchidoux
110ème
4 428 points
En juillet 2020
Génial continue !
Carlisle
191ème
3 211 points
En juillet 2020
Carlisle niveau/12 experience 1300 facteur
J'allais dire exactement pareil que Awani sur certains points, bien vu =w=
Et sinon j'ai remarqué que, par tu as oublié de fermer les guillemets ainsi que de préciser l'année ou l'époque par exemple. Mais après ce genre de choses ne sont vraiment pas dérangeante :')
Et sinon début assez intéressant, bonne chance pour la suite 😄!
élili123
465ème
1 638 points
En août 2020
compte supprimé niveau/8 experience 605 facteur
Chapitre 2 :

Vers trois heures du matin, n’arrivant plus à dormir, elle alla chercher son sac pour le remplir
de tout ce dont elle pourrait avoir besoin durant son expédition. Elle emporta un canifs, une bouteille d’eau, des vivres, et une corde. Elle écrivit une courte lettre pour son père pour lui dire qu’elle ne reviendrait pas et elle sortit de la maison sans faire le moindre bruit. Sur le perron, elle ferma les yeux et prit une grande bouffée d’air frais, puis elle partit sur le petit chemin de campagne qui se trouvait à l’arrière de la maison. Après quelques heures de marche, le soleil déjà bien haut dans le ciel réchauffait l’air qui devint très chaud et humide, dû à la rosée matinale. Léa, épuisée et assoiffée, cherchât de l’ombre pour se reposer et se rafraîchir un peu. Elle trouva rapidement une petite forêt et elle s’assit dans le creux d’un grand saule, puis elle dormit quelques heures. Quand elle se réveilla, elle reprit sa route jusqu’à ce qu’il fasses trop noir pour continuer. Le lendemain matin, elle repartit pour une autre journée épuisante. Après trois jours de marche, frustrée et profondément déçue, elle retira l’anneau de son doigt et le lança furieusement dans un petit lac près d’elle. Son eau était sombre et trouble et une multitude de mauvaises herbes poussaient tout autour, rien de bien invitant. Sa surface se mit à miroiter et à onduler tout doucement au contact de l’anneau, comme si sa surface était recouverte d’un film-plastique.

Léa s’accroupit près du lac et l’observa un moment, puis certaine qu’il n’y avait pas de danger, elle plongea sa main dans l’eau glacée afin de retrouver son anneau . À son grand étonnement, elle ne la vit plus dans l’eau comme elle s’y attendait, mais elle voyait plutôt son bras qui s’arrêtait au niveau de l’eau et, plus bas, elle ne voyait plus rien. Elle avait même l’impression de ne plus la sentir comme si elle n’était pas dans l’eau, mais ailleurs. Tout à coup, quelque chose l’agrippa par le poignet et la tira vers le fond du lac. Léa ne sentit pas le froid de l’eau et même si elle retenait sa respiration, elle avait l’impression qu’elle aurait pu respirer sans aucune difficulté. Elle sentit un grand tapis d’herbe sous elle et la douce chaleur du soleil sur son visage, puis malgré le fait qu’elle luttait pour ouvrir les yeux, elle tomba dans l’inconscience
non classé
En septembre 2020
un inconnu niveau/ experience
La suite la suite sait super ton histoire très créatifs et avec baucoup de description félicitations les plus grandes
Alinéa
470ème
1 886 points
En octobre 2020
Alinéa niveau/10 experience 1260 facteur
Contente d'être tomber sur cette fiction !!
C'est génial !
Franchement, continue comme ça 😄
élili123
465ème
1 638 points
En janvier 2021
compte supprimé niveau/8 experience 605 facteur
Chapitre 3 :

La première chose qu’elle vit, en se réveillant, fut une petite boule de poil, aussi blanche que la neige, endormie sur son ventre. Elle la souleva doucement pour ne pas la réveiller, mais ses efforts ne servirent à rien. L’animal, qui s'avérait être un petit lapin, s'éveilla en sursaut et lui sauta des mains en lui laissant une longue éraflure partant de sa paume jusqu’à son avant bras. C’est en bandant sa blessure avec des feuilles et de la ficelle qu’elle remarqua que l’anneau était toujours à son doigt et qu’il paraissait briller comme si on l’avait poli. À ses côtés, une petite note écrite à la main lui souhaitait la bienvenue dans le pays D’il était une fois et lui expliquait comment l'anneau servait de portail pour y entrer. Le contact avec l’eau le transforme en portail, pour finalement réapparaître au doigt de son propriétaire. Par contre, pour revenir chez elle, il fallait avoir son anneau jumeau qui était très rare et très difficile à trouver. Il était caché dans une grotte, dans les précieux trésors d’un dragons qui ne le laisserait jamais partir. Léa ne se souciait pas de comment retourner chez elle et ne savait même pas pourquoi elle voudrait y retourner alors, elle n’y prêta pas attention. Elle plia la note, la mit dans sa poche. Elle observa le paysage qui se déroulait devant elle. Le petit lac était toujours présent, mais son eau était d’un bleu magnifique contrairement à l’autre. Elle se trouvait dans un clairière parsemée de pissenlits et une douce brise fraîche compensait pour le soleil qui plombait directement au sol. Une odeur de fumée s’élevait dans l’air et l’on pouvait apercevoir une petite cabane au loins. Décidée à ne pas passer une nuit de plus dehors, Léa parti en direction du campement.
Aujourd'hui, à 20:56
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