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 Survie (fiction de survie, de batailles)
par Chinchidoux en avril 2020
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103ème
4 463 points
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En avril 2020
Bonjour à tous !
Une nouvelle fiction, qui j'espère vous plaira réellement.
Merci à chaque lecteurs, à vos commentaires positifs et négatifs, et aux modérateurs.
PROLOGUE : survie !
Aujourd'hui est un grand jour nous disaient-ils,que nous serions libre, que les maisons devenus ruines, deviendraient palais. Que les mineurs et agriculteurs n'auraient plus besoin de travailler... Mais la guerre n'a pas cessée, et tous autant que nous sommes, nous sommes toujours en danger.
Un oiseau vient de se poser sur le sol tout noircit par ce massacre qui aura tué plus de 2 millions de personnes. Je l'attire avec mon morceau de pain, mais il ne vient pas à moi.
J'abandonne, et je sors mon poignard, je le lance un coup sec, et l'oiseau tombe à terre.
On nous avait promit qu'après un an de guerre, tout irait mieux, que celle-ci n'existerait plus, et que la famine ne serait plus présente, que nous vivrons de richesses, et de bonheur.
Le président Harisson nous avait sans doutes mentis, puisque je suis là, assise par-terre à faire rôtir mon repas. Je le regarde tourner sur le petit feux que j'ai fais avec quelques brindilles.
Mes mains sont sales, et mes cheveux long sont terriblement gras.
Voilà quatre jours que j'ai du partir me cacher, depuis que les soldats du président Harisson qui avaient promis de nous protéger, se sont fait attaquer.
Chaque minute un coup de feux retentit, et je cherche à m'enfuir, mais je peux pas aller plus loin sans Philippe, j'ignore où il est. Je dois le trouver.
Tout d'un coup une douleur à mon ventre me prend si soudainement, pourtant aucune balle ne m'a touchée je suis seule cachée dans un espèce de gouffre. L'envie de vomir me vient et je n'ai pas d'autre choix que de vomir. Je déteste ça, et j'ignore pourquoi je vomis, cela m'inquiète.
L'oiseau n'est toujours pas cuit, j'en profite pour faire avec quelques branches solides, et des rochers et de la ficelle que j'avais trouvé dans un camp pour me faire des flèches.
Ma famille est une famille de chasseurs, nous savons comment survivre, sans se faire réellement remarquer. J'espère survivre. Trouver Philippe. Mais où est-il ?
Après avoir manger l'oiseau, j'éteins le feux en donnant des coups de pieds dedans. Puis je pars chercher un coin d'eau. Je marche direction la commune un peu plus loin, en espérant me reposer. J'entends un bruit je m'arrête, et me cache derrière un tronc d'arbre. Je passe ma tête discrètement du côté droit, et je croise le regard d'un daim, il est énorme ! J'aimerai tellement utiliser sa peau pour pouvoir me réchauffer la nuit, et manger sa viande. J'ai tellement faim et froid. Mais il ne me craint pas. Il mange de l'herbe comme si je n'étais même pas là.
Plus loin j'entends de l'eau ruisselé, je m'avance tout en évitant de faire un maximum de bruit. Effectivement il s'agit bien d'un petit étang, j'enlève mes affaires, et j'enlève tout mes vêtements, puis je m'avance dans l'étang, l'eau monte à mes chevilles, puis genoux, et sous ma poitrine, je commence à nager et je plonge ma tête sous l'eau. Je frotte mon corps avec mes mains, de la crasse remonte à la surface. Je tente d'oublier que dans cette eau, il y a sûrement d'étranges poissons, maladies, et crapauds et je frotte mes cheveux qui sont gras.
Maintenant que je suis un peu plus propre, je remets mes vêtements, et je me fais pas de feux de camp, car la nuit est tombée...
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860ème
1 164 points
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En avril 2020
C'est bien, j'attends avec impatience la suite et parce que j'ai envie de savoir et parce que j'aurais une meilleure opinion.^^
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103ème
4 463 points
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En avril 2020
Chapitre 1:
La nuit est tombée, et j'ai l'impression de voir des monstres, d'être observée.
Je sens la fatigue montée, mes yeux sont très lourd. Je pense à Philippe. Ma tête est lourde, elle tombe sur le côté. Je crois que je m'endors. J'entends sa voix.
"Annie ! ... Annie !" il éclate de rire. "Je sais que tu m'aimes Annie, ta mère me la murmurer à l'oreille une fois que nous avions fini de nous occuper de la ferme."
"Annie ! Arrête ! ... Arrête !"
Je me réveille en sursaut. Un mini cauchemar. La mort de ma mère orchestrer par le président Harisson, ce sont les derniers mots que j'ai entendu venu d'elle.
Je prend mon sac, mon arc et mes flèches, et je reprend ma route vers la commune d'à côté.
Philippe hante mes pensées, sa recherche devient de plus en plus compliqué, surtout le doute de savoir s'il est toujours en vie ou non.
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860ème
1 164 points
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En avril 2020
C'est très bien, juste peut être un peu court... Les autres seront-ils plus long ?
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103ème
4 463 points
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En avril 2020
La crique
C'est très bien, juste peut être un peu court... Les autres seront-ils plus long ?
Oui ils seront plus long 
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860ème
1 164 points
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En avril 2020
Super !
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Aujourd'hui, à 22:33
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