BONJOUR TOUT LE MONDE JE
M'APPELLE ******* J'AI 12 ANS J'ADORE LES MANGA LES LIVRES
DE FICTION ,J'ADORE FAIRE DES DELIRE AVEC MES
AMI(S) ET LES ANIMAUX SURTOUT LES LOUPS J'AXEPTE
TOUTE DEMANDE D'AMI(E)
IL
SE RESSENBLE NON ?
Sa
fait minutes
et secondes
que tu lis ma
fiche
TU EST LE AUJOURD4HUI
A ETRE VENU SUR MA FICHE
Elle:Salut!
Lui:Ah!Depuis le temps que
j'attend sa!
Elle:Tu veux que je
parte?
Lui:Non,je n'ose même pas y
penser.
Elle:Tu m'aimes?
Lui:Bien sûr!
Elle:Tu m'as déjà
tromper?
Lui:Non!
Elle:Tu veut
m'embrasser?
Lui:Chaque fois que j'en aurait
l'occasion!
Elle:Tu me brattra un
jours?
Lui:Tu es folle?Je ne suis pas
comme sa!
Elle:Je peut te faire
confiance?
Lui:Oui?
Elle:Chéri?
Et maintenant! relis le a l'envers
Définition du mot
collège:
centre
otage
lésant
les
élèves
galérer
ensemble
DEFINITION DU MOT
C.P.E
cauchemar
pour
élevés
elle est ou l'erreur? ... ...
ABCDEFGHIJKLNMOPQRSTUVWXYZ fais un vœu après le comptage: 10 9 8 7
6 5 4 3 2 1 0.maintenant fais le vœu !Maintenant mais
ça sur ta fiche pour que ton vœu se réalise. Attention tu n'as que
5 minutes , si tu ne le fais pas ton vœu se réalisera mais à
l'envers
Lettre a mon maitre
Ce matin ,
Tu étais déjà debout, et tu faisais les
bagages.
Tu as pris ma laisse, que j'étais
content,
Une petite promenade avant les
vacances.
On
est partis en voitures,
Tu t'es arrêté au bord de la
route,
Tu m'as lancé un
bâton.
J'ai couru........ Je l'ai
rattrapé,
Mais quand je me suis
retourné,
Tu
n'étais plus là.
Pris de panique, j'ai couru
encore,
Dans tous les sens pour te
retrouver,
Mais ce fût en
vain.
De jour en jour, je
m'affaiblissais.
Un homme c'est approché de
moi,
M'as mis une corde autour du
cou,
Et je me suis retrouvé en
cage,
Et c'est là, que j'ai attendu ton
retour,
Mais
tu n'es jamais venu.
Un jour, pourtant, la cage s'est
ouverte,
Mais
ce n'étais pas toi,
C'était cet homme qui m'avait
ramassé.
Il m'a conduit dans une
pièce,
Qui sentait la
mort.......
....... Mon heure était
venue.
Cher
maître,
Je voudrai que tu
saches,
Que malgré ce que tu m'as
fait,
C'est ton image qui me
revient
Avant mon dernier
soupir.
Et que si je pouvais revenir sur
terre,
C'est
vers toi que je courrai
Car, moi, je t'aimais. :(
(fait par un chien triste ) copier coller cette histoire et vite!!!
n'oublier pas de la mettre sur votre
fiche!!!!!!!!!!!
Je suis un loup solitaire et
blessé
Chassé de mon clan j’y ai règné longtemps
Mais un jeune loup pressé ce matin m’a défié
Ce combat fut âpre et nous avons versé le sangPoint
de soumission mais un combat violent
Point de réddition mais deux belles paires de dents
Point de négociations mais des blessures pourtant
Point de malintention mais juste le bânissement
Je suis seul
désormais ma compagne lui revient
Je suis blèssé car il m’a brisé le train
Je suis borgne et la nuit couvre mon flanc
Je suis faible mais resterais fier cependant
Pourtant je
sais que jamais elle ne lui appartiendra
Elle n’a voué son amour qu’à moi
Et dans mon coeur de loup c’est elle qui vit en moi
Notre amour est parfait nul ne le troublera
Je vais rester
là et guetter le clan
Je vais bien chasser pour tuer ce méchant
Bien me renforcer et affûter mes dents
Bien me préparer pour défendre mon flanc
Je vais tout
remuer pour mieux mobiliser
Mon arrière train cassé et bien le retaper
Je boîterais sans doute mais je vais compenser
Par une haine sans doute et la ruse au complet
J’écouterais le
vent jusqu’à ce qu’il me dise
Qu’il est venu le temps pour qu’il se reproduise
Je l’attendrai là le défiant du regard, la bave qui rigole
Il ripostera me combattra et je lui briserais le
col
Lorsqu’il
tombera je l’acheverais
Finirais ce combat et je reprendrais
Ma toute belle aimée et chérie sur ma vie
Le chef je redeviendrais et finirais ma vie
Mais nous n’en
sommes pas là
Il faut encore affronter le méchant
Nous n’en sommes pas là
Il faut encore humilier le mécréant
Mon territoire
est marqué
Point de limite dépasser
Sinon j’interviendrais
Et je le tuerais
Le vent me
chante la moisson
Il me dit que la belle saison
Annonce le moment
Du grand rassemblement
il ne va plus
tarder
A moi de l’affronter
Afin de démontrer
Que je suis le plus grand
Le voilà qui
s’annoce fier et faux semblant
Il ne m’impressionne pas je vais prendre le temps
De lui livrer combat et être violent
Je suis prêt à tuer ou y laisser la vie
Ma compagne m’a
vu elle sait désormais
Que rien ne va plus pour le clan
La guerre est déclarée le combat peut commencer
Il va falloir prouver qui il est maintenant
Le combat fut
terrible et je l’ai éborgné
lui ai cassé le train en guise de punition
Je l’ai soumis aux yeux de tous et bânni sans conditions
A son de tour de vivre pour espèrer
J’ai retrouvé
tes yeux belle louve de mes rêves
J’ai retrouvé ma vie douce louve gentille
J’ai retrouvé ton corps divine perle de vie
J’ai retrouvé mon clan en ce jour qui s’achève
Je vais fêter
ça dignement
En donnant vie comme présent
Je vais fêter ça en hurlant
Pour que la forêt sache l’évènement.
Ce petit poème
pour une vraie fan de loups, amitié
Ce matin, je me suis réveillé au
milieu de ma meute. Du moins, je croyais. Tout le monde ou presque
a disparu, à part une louve salvatrice. Je veux me lever mais je
n’y arrive pas. Un piège m’a arraché une jambe. Comment puis-je me
relever ? Pour l’instant, je ne sais pas, ma vue est troublée
par ce brouillard qui persiste depuis des mois. J’avais bien tenté
en vain de passer au travers, de mordre cette purée de pois avec ma
gueule mais je ne peux plus serrer les crocs non plus. Mais ma rage
reprend le dessus, il me reste de la force, cette force du
désespoir, cette force quasi-démoniaque à qui je dois ma survie,
cet instinct animal. Par le passé, j’avais tenté de construire une
ville, un projet fou, ambitieux, égal à ma démesure, une ville en
forme de lumière, une ville transcontinentale qui faisait le lien
entre plusieurs territoires de chasse, une ville dont j’avais
secrètement bâti les fondations. Et puis en me traînant dans ce
brouillard malgré cette patte presqu’arrachée, je remarque et
j’aperçois cette ville, elle s’est construite sans moi et déjà des
milliers de visiteurs s’y promènent, y construisent des projets, y
discutent, y rient, s’y livrent à la débauche. Pourtant, avec ma
rage de loup blessé, je pourrais tous les manger un par un, puisque
je suis un canis
lupus, mon destin
n’est-il point de me repaître de cette chair si délicieuse et si
infecte à la fois ? Cette ville nouvelle possède un charme
malsain malgré tout, ses murs sont placardés d’odes à l’amour avec
une signature de louve. Pourtant, je sais qu’elles ne me seront
jamais destinées, cette ville est peut-être un sanctuaire et ces
mots d’amour sont, sans aucun doute, pour le géniteur de cette
ville, son architecte. Je me traîne à la périphérie de cette ville
immonde dont ses nouveaux habitants ne se rappellent guère de moi.
C’est normal, je suis un loup, je ne sors que la nuit, je ne vis
que dans l’ombre. Oui ça j’aime ça l’ombre … putain que c’est bon
de marauder et de chasser l’humain sur ses terres et même si je ne
me souviens déjà plus de cette dernière nuit et du piège qui s’est
refermé sur ma patte, ce n’est pas très important à mes yeux car ce
dont je me souviens, c’est de cette louve elle-aussi souffrante,
qui m’a ramené aux miens. C’est drôle, pourtant presque toute ma
meute s’en est allée, me fuyant parce que je boîte et parce que je
suis parti chasser cette fameuse nuit sur d’autres terres, des
terres multicolores où une autre meute avait pourtant bien voulu
que je chasse l’humain avec elle. Mais j’ai dû quitter
précipitamment ce groupe de semblables car l’architecte de cette
ville a pris possession de ce territoire et c’est un chasseur, il
possède même beaucoup d’armes à feu … Il a décimé toute la meute de
cette terre devenue blanche sauf une louve qu’il a adoptée mais moi
je suis un loup, je ne peux pas me battre contre des armes à feu,
surtout lorsqu’elles sont cachées dans des valises et qu’elles
seront sûrement posées à chaque coin de rue de cette ville
nouvelle. Mais il ne m’a pas touché, je sais esquiver les coups. Je
sais me fondre dans le paysage urbain même si la forêt et ses
clairières sont mon domaine, mon havre de paix. Et je pardonne à
cette louve, j’ai tenté en vain de l’appeler et je m’excuse car je
n’ai pas su hurler assez fort pour qu’elle m’entende. Mais elle
aurait sa ration quotidienne de chair avec cet architecte, je sais
qu’il lui procurera ce dont elle aura besoin en tout
temps.
Heureusement, je regarde cette
louve qui m’a ramené cette nuit, qui m’observe, elle me comprend,
elle voudrait s’approcher de moi mais elle a peur. Peur sans doute
d’être chassée elle-aussi de la meute, peur de l’envie qui me
prendrait de retourner dans cette ville du néant, cette ville de la
douleur, arracher chaque panneaux, détruire chaque bâtiment un à
un, peur que je goûte à nouveau cette chair, au sang dont pourtant
je raffole. Car je suis un loup et même avec tous les moyens de
surveillance de cette ville, je pourrais m’y promener furtivement,
toujours caché, car je suis aussi un maître en matière de
camouflage. Je n’en ai pourtant pas envie, ma patte me fait trop
mal, je souffre, je suis un loup blessé. Mais heureusement, cette
louve souffrante qui m’observe, est ,elle aussi, pleine de rage et
le simple fait d’échanger ces regards avec elle me redonne force,
vaillance et courage. Elle gémit, elle prend plaisir même dans la
douleur, sans nous sentir, sans nous toucher, nous sommes si
proches, si complices. Peut-être un jour, n’aura-t-elle plus
peur ? Nous panserons alors l’un l’autre nos blessures. Ce
n’est pas facile de vivre une vie de loup errant quand toutes les
terres de prédation vous sont interdites … Peut-être, va savoir
…
Je suis un loup blessé avec
la mort tatouée sur mon poitrail mais je suis un loup avant tout et
même si je disparais, je continuerai toujours de hanter les nuits
des ces pauvres chiens d’humains …
LE CHIEN ,LE CHAT
ET LES AUTRES ANIMAUX SONT DES AMIS POUR LA VIE NE LES ABODONNE
PAS
REGARDE PENDANT 30
SECONDE ET APRES
REGARDE TA MAIN