Saviez vous que
les personnes qui semblent être très fortes sont souvent les plus
sensibles ?
Saviez vous que celles qui passent leur temps à prendre soin des
autres sont souvent celles qui en ont le plus besoin ?
Saviez vous que les trois choses qui sont les plus dure à dire sont
: ''Je
t'aime'',''Je suis
désolé(e)'', ''Aidez-moi'' ?
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Si toi aussi tu
dis ''Tout va
bien'' quand tout va mal,
Si tu ris même quand tu es triste,
Si tu continues de te battre quand t'as envie de baisser les
bras,
Si tu remontes le moral de tes amis quand toi même tu ne l'as
pas…
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Un jour, la larme dit au
sourire :
« Je t'envie parce que, toi, tu es
toujours heureux. »
Le sourire lui répond
:
«Détrompes toi, tu sais, bien souvent, je
n'existe que pour mieux cacher ta
douleur…»
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L'école m'a apprit à ne
plus compter sur mes doigts. La vie, elle, m'a apprit à ne plus
compter sur les
autres…
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La personne qui
rie, parle beaucoup peut aussi être la personne qui, le soir,
s'endort en
pleurant…
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La mélancolie, c'est le
sentiment d'avoir perdu, et c'est la peur de perdre. C'est être en
deuil de tout, tout le temps, même au moment où les choses
arrivent, si bien qu'on ne peut pas les vivre.
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Ecrire, c'est crier en
silence...
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Ignores celui qui te
critiques, car, prisonnier de sa propre jalousie, il ne fait que
t'admirer.
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Pour Noël ?
Je ne veux pas de cadeau !
Je veux juste une échelle assez grande pour aller embrasser tout
ceux qui sont partis trop vite…
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Si toi aussi,
Tu aimerais avoir un passage secret,
Pour pouvoir aller serrer très fort,
Cette personne qui te manque,
Qui depuis sont départ,
A creusé un vide dans ta vie,
Et rendu ton cœur si lourd…
A nos anges gardiens…
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On aimerait parfois
partager nos chagrins avec certaines personnes, notre histoire, nos
soucis, tout ça en quête de conseils, de soutien, d'une simple
présence qui nous aiderait à avancer.
Mais on a souvent peur de s'ouvrir, d'en dire trop, d'utiliser des
mots brouillons, des mots superficielles et de montrer ses failles,
d'être jugée, incomprise, prise pour être sans cœur alors que ce
n'est pas le cas.
On est comme on est, c'est-à-dire tous différents avec des visions
de la vie, de l'amour, des relations, de tout ce que vous voulez,
différentes.
C'est pourquoi on agit tous différemment face à toutes sorte
d’événements et parfois on ne se comprend pas.
Se mettre à la place des autres ne nous aide pas forcément à les
comprendre mieux.
C'est frustrant de se sentir seule face à ses problèmes, de se
retourner et de ne trouver aucune épaule sur laquelle se
poser.
Les gens se défilent devant vous lorsqu'ils sentent que votre âme
est dotée d'une petite boîte remplie de chagrin.
Juste parce qu'ils ont peur d'être contaminés.
Alors on se trouve seule avec nos déboires sur les bras, notre tête
est telle une marmite bouillante, notre cœur se fissure.
Et on est comme une conne, incapable de retrouver ses
esprits.
On sombre petit à petit dans le gouffre sans fin des pleurs qui
débarquent sans prévenir, des boules dans la gorge, des nœuds dans
le ventre, du cœur qui bat dans le vide…
J'voudrais m'époumoner, crier à perdre
haleine…
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J'ai compris qu'il y a des priorités dans
la vie.
Que les gens que tu rencontres ne sont pas forcément tes
amis.
J'ai compris que dans la vie on n'a pas toujours ce qu'on
veut.
J'ai compris que nous ne sommes rien sur terre, en une seconde tout
peut s'écrouler, rien n'est jamais acquis.
J'ai compris qu'il ne fallait pas être prétentieux ni
incapable.
Que certains sujets importants font réfléchir…
Responsable je le suis et des choses j'en prends conscience.
J'ai compris que faire du mal aux gens n'était pas bien.
Que les regrets ne sont plus utiles quand la mort te
parvient.
Que chaque seconde nous est enlevée de notre crédit de vie.
J'ai compris que sans patience, courage et volonté, on n'arrive à
rien.
Qu'il ne faut pas se fier à l'apparence ni à la grandeur.
Car j'ai compris que l'important c'est ce qu'il y a dans le
cœur.
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La vie est un spectacle
dont je suis l'une de ses comédiennes.
Cacher mes larmes et ma peine derrière un masque est chose aisé
afin que nul ne voit ma souffrance.
Sourire c'est souvent mentir aux autres pour que rien ne paraisse,
que la comédie continue.
Mais jusqu'à
quand…
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Je voudrais que le chagrin
soit effervescent, comme ça je verserais de l'eau dessus, et je le
regarderais se dissoudre lentement.
[Ondine Khayat, 'fin je crois]
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J'm'enferme dans ma
bulle, je n'regarde personne dans les couloirs de mon esprit.
Il est déjà trop tard, il fait déjà si noir dans le mal ou je me
perds, dans le vide où je me noie.
Bien sûr il y a mes guerres mais il y a surtout toi.
Dans le noir des nuits trop claires, dans le silence de mes
combats.
La solitude qui se resserre, des souvenirs qui ne meurent
pas.
Des cris des pleurs pour moins de douleur.
[ Natasha St-Pier, 'fin je crois ]
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J'ai beau faire la fille
forte, celle que rien peut détruire.
Une fille pas comme les autres, qui sourie malgré tout.
Mais au fond de moi je sais que je suis faible, je sais que au
moindre faux pas ça me détruit de l'intérieur.
Mais j'avance en me disant que ça ira…
Je reste forte pour mon entourage, pour toutes les personnes qui
m'ont relevées après chaque chute et qui ne m'ont jamais
lâchées.
Mais le poids de mon cœur devient lourd à supporter.
J'ai besoin de m'exprimer, d'exprimer ce que je ressens et ce qu'il
y a au fond de mon âme.
Il y aura toujours des gens pour me critiquer, pour me rabaisser,
malgré ça j'essaye d'avancer la tête haute même si je sais que la
pente est dure à remonter.
Mais je me barricade derrière une muraille invisible qui me protège
des autres et du monde, me murant dans mon propre monde jusqu'au
jour où je trouverais ma lumière, mon espoir de vie…
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A ce moment précis, j'aurais
envie de courir.
De courir le plus loin possible.
Sans que personne ne me retienne.
Pour oublier toute la pression autour de moi, pour ne pas subir la
déception, pour combler ce manque, pour échapper à tout ce qui est
autour de moi.
J'aurais envie de me perdre dans l'immensité du monde, sans
regarder devant et surtout pas derrière moi.
Plus d'avenir.
Plus de passé.
Plus de doutes, plus de craintes et surtout plus de regrets ni de
remords.
Pour ne plus faire face, pour ne plus me battre.
Juste envie de dépasser le temps, de l'arrêter et de le
contrôler.
Courir… longtemps, tellement longtemps que je ne ressentirai plus
aucune douleur.
Et surtout ne plus penser.
Non jamais.
En fait… prendre la fuite.
Juste pour avoir un peu de répit, juste pour me ressourcer.
Mais ce n'est pas possible.
Parce que je suis là.
Et je veux donner.
Même si je n'en ai pas forcément la force, pas forcément
l'envie.
Parce que je ne veux pas abandonner.
Parce que je ne peux pas…